C’est l’histoire triste du moment! Terrédans un silence profond depuis plusieurs mois, Blaaz avait fait l’objet de vives inquiétudes vers la fin de 2020. Les fans inquiets se demandaient la cause de l’éloignement de l’artiste du showbiz et des réseaux sociaux. C’est à ce moment qu’une première alerte a été donnée sur l’état de santé dégradant du rappeur.

Mais aucune réponse concrète n’a pour autant été trouvée quant à la nature du mal dont souffrait l’artiste et la manière dont il en était impacté. En ce début d’année 2021, les fans toujours curieux et surtout inquiets ont multiplié des appels et ont fait délier les langues. Cette initiative a fait ressortir des informations très alarmantes sur l’état de santé de Blaaz même si tout reste à confirmer.

Selon les publications de certains hommes hauts placés du showbiz béninois, le rappeur serait actuellement très mal en point. Il serait totalement paralysé suite à deux AVC en un mois. Une rumeur sur laquelle presque toutes les grosses têtes s’accordent ; cequi n’est pas le cas sur la manière dont il est traité.

Une première information soutenait que Blaaz suivait des traitements dans sa maison familiale et serait à court de moyens. Une rumeur qui a même poussé certains à lancer des campagnes de cotisation. Cet élan de solidarité pas très net a d’ailleurs très vite eu du plomb dans l’aile car un démenti a été apporté un peu plus tard dans la journée.

Selon cette nouvelle rumeur, le rappeur béninois serait pris en charge dans une clinique de Cotonou aux frais de Oswald Komeky, le très dynamique Ministre de la culture du pays. Les langues continuent de se délier mais aucune information officielle n’a été donnée à ce jour sur l’état de santé de Blaaz. Le mal dont il souffre probablement est inconnu et son état serait stable.

Ces informations sont pour la plupart relayées par des personnes influentes du showbiz béninois ; ce qui leur donne plus de crédit. À la rédaction, nous souhaitons un prompt rétablissement au « Roi de la Street ».

Crédit captures : Page Facebook Tôkpa-Tôkpa