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Bénin : les exilés politiques pourraient être amnistiés



 

Le président Patrice Talon envisagerait une amnistie générale aux exilés politiques. Cette décision qui, pour l’instant n’est qu’un bruit de couloir, pourrait être liée au retrait du Bénin des pays sûrs pour la France.

 

Depuis ce 6 octobre 2020, l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) a retiré le Bénin des pays sûrs. La décision de l’Ofpra s’étend sur deux mois et intervient après le réexamen du bien-fondé de l’inscription du Bénin sur la liste des pays considérés comme des pays d’origine sûrs. En raison de ce retrait, le Bénin pourrait accéder favorablement aux dossiers des exilés politiques.

 

Tout porte à croire que les autorités françaises ont revu de près la tension qu’entretiennent les exilés politiques avec la justice de leur pays. La présence des opposants au régime de Patrice Talon en France a probablement poussé l’Ofpra à remettre en question les arguments des autorités béninoises quant au respect des droits de l’Homme et des principes démocratiques.

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Si les opposants politiques à l’instar de Sébastien Ajavon se sont exilés en France fuyant la justice de leur pays, c’est probablement parce que : « le Bénin ne garantit plus à leurs yeux une justice équitable pour tous » ». Une situation qui a dû faire tiquer l’Ofpra d’où le retrait du Bénin des pays sûrs. Cette décision légitime les dénonciations des exilés politiques.

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Ainsi, la situation des exilés politiques serait entrain de se débloquer. Bien avant l’intervention de l’Ofpra, le dilemme des opposants politiques exilés était l’objet de toute discussion. En septembre 2020, El Hadj Yacoubou, le président fondateur de l’Association des Fidèles musulmans, avait indiqué que si Boni Yayi et Nicéphore Soglo demandent pardon, le président Patrice Talon pourrait donner son accord pour le retour au pays des exilés politiques.

Avec Matin libre

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