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« Alpha Condé n’a jamais été professeur ! C’était un buveur de whisky »



Alpha Condé n’a jamais été professeur. En tout cas, celui qui fait la révélation n’est pas n’importe qui. C’est bien l’une des personnes qui ont milité dans l’opposition tout comme Alpha Condé, le président guinéen.

Dans un entretien EXCLUSIF avec M. BALDÉ Alpha Ibrahima, les révélations font froid dans le dos comme l’ont eu à souligner de nombreux internautes. L’entretien a été accordé à la chaîne Kumpital. Celui qui parle a eu à le côtoyer durant son séjour parisien.« Je l’ai connu à l’époque de Sekou Touré et je l’appelais Alpha Coné. Je l’ai côtoyé jusqu’à ce que je ne quitte la Guinée. Alpha a été accesseur à la Sorbonne et jamais professeur. Il n’a pas longtemps travaillé non plus. C’était un buveur de whisky, un joueur de Lotto, il aime aller  chez ses amis rester des mois. C’était un chômeur.  Qu’il dise où il a travaillé. Ses feuilles d’impôt en France font marrer. Quelle université lui a donné ce titre de professeur ? », a révélé M. BALDE.

Le 13ème arrondissement le connait selon les informations données. « Il ne peut jamais enseigner en France. Il s’est autoproclamé professeur » poursuit l’ancien opposant.

C’est Vincent Bolloré, patron de Vivendi, Canl et du groupe Bolloré qui a mis Alpha Condé au pouvoir selon M. BALDE. Il aura fallu 90 miliciens pour mettre le chef de la junte Moussa Camara Dadis dans des problèmes judiciaires. Tout un plan a été fomenté en ce sens. Le massacre qui s’en est suivi n’incomberait pas Dadis. Ce dernier a reçu une balle de Aboubacar Sidiki Diakité. Il a fallu que Hassan II ait envoyé le blessé au Maroc pour qu’il soit soigné. Donc M. Moussa est C’est une bonne personne selon l’ancien opposant.

Le massacre du stade c’est Alpha Condé et ses amis qui en sont responsables affirme-t-il. Selon la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH) et l’Organisation guinéenne de défense des droits de l’homme (OGDH), la répression d’un meeting de l’opposition dans le stade de la capitale guinéenne a fait au moins 157 morts le 28 septembre 2009.

 

Lire aussi : Élections en Guinée : La CEDEAO et l’UA appellent au calme

 

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