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Afrique du Sud : Jacob Zuma autorisé à faire appel de l’ordonnance d’un tribunal



 

Un tribunal sud-africain a autorisé l’ancien président sud-africain Jacob Zuma à faire appel d’une décision l’ordonnant de retourner en prison après avoir été libéré en septembre pour raison médicale. Cela signifie donc qu’il pourra passer Noël chez lui.

Jacob Zuma, 79 ans, a été condamné en juin à 15 mois de prison pour outrage au tribunal.

Il s’est rendu en prison pour purger sa peine le 7 juillet, déclenchant l’une des pires violences que l’Afrique du Sud ait connues depuis des années.

La colère des partisans s’est transformée en une indignation plus large face aux difficultés et aux inégalités qui persistent 27 ans après la fin de l’apartheid.

Jacob Zuma a bénéficié plus tard d’une libération conditionnelle pour raisons médicales en septembre, mais plus tôt ce mois-ci, la Haute Cour de Gauteng dans la capitale, Pretoria, a ordonné l’annulation de cette décision et son retour en prison, suscitant des inquiétudes quant à de nouvelles violences.

Le même tribunal a décidé ce 21 décembre que son équipe juridique devrait pouvoir faire appel du jugement devant une juridiction supérieure.

Les procédures judiciaires engagées contre Zuma pour corruption présumée au cours de sa présidence de neuf ans sont largement considérées comme un test de la capacité de l’Afrique du Sud post-apartheid à faire respecter l’état de droit contre des individus puissants.

La présidence de Zuma a été entachée d’allégations de corruption et d’actes répréhensibles.

Pour rappel, il fait face à un autre procès pour corruption lié à son limogeage de son poste de vice-président en 2005, lorsqu’il a été impliqué dans une affaire d’armes de 2 milliards de dollars. Il nie tout acte répréhensible et se dit victime d’une chasse aux sorcières.

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