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Les forêts africaines absorbent plus de carbone que l’Amazonie



Selon une étude publiée dans  la revue Nature, jeudi 5 mars, les forêts africaines absorbent plus de carbone que l’Amazonie.

Ces changements climatiques sont dus à la déforestation et au non-respect des normes établies, pouvant amener les individus à sauvegarde la dame nature.

Selon l’étude, l’Amazonie était considérée comme le plus puissant puits de carbone. Elle permet d’absorber le carbone, mais sous l’effet du changement climatique, les forêts africaines viennent de la détrôner. A cet effet, les forêts africaines  absorbent désormais une partie plus importante de l’augmentation des émissions mondiales de CO2.

Selon Docteur Wannes Hubau, chercheur au Musée royal de l’Afrique centrale (Bruxelles), la séquestration a duré depuis des années, ce qui affaiblit la capacité des forêts tropicales.

« Le pic de séquestration du carbone par les forêts tropicales a eu lieu dans les années 1990 et, depuis, leur capacité diminue », a-t-il expliqué

« L’Amazonie, dont la capacité de séquestration a baissé d’un tiers en vingt ans, pourrait même rejeter davantage de CO2 qu’elle n’en absorbe d’ici à 2040 », a-t-il ajouté.

Cette décadence s’explique également par la dynamique interne des écosystèmes forestiers sous l’effet du réchauffement climatique.

La finalité de l’étude est de mesurer l’impact du dérèglement climatique sur la croissance et le dépérissement des arbres.  Selon l’étude, « 565 parcelles, d’une superficie moyenne d’un hectare, réparties en Amazonie et en Afrique ont été suivies à intervalles réguliers sur une trentaine d’années ».

Interrogé par le monde Afrique, Wannes Hubau a indiqué que « la destruction des forêts a jusqu’à présent davantage attiré l’attention des scientifiques, mais il existe aussi une transformation plus invisible dont il faut prendre conscience.

Rappelons que l’Asie où les « forêts intactes » sont subsistantes a été laissée de côté.

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