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Madagascar/ tentative d’assassinat du président Andry Rajoelina : la France indexée



La France serait-elle impliquée dans la tentative d’assassinat du président malgache ? Ce dimanche soir, le chef de l’État, Andry Rajoelina, a publiquement mis en doute cette possibilité, plus de deux semaines après l’arrestation par la police des auteurs présumés d’un coup d’État à Madagascar.

« S’ils veulent me tuer, c’est à cause de mon engagement à protéger notre nation », a-t-il déclaré lors d’une intervention sur les chaînes de télévision publiques. « Parmi les cerveaux de l’assassinat figure un colonel français qui a commandé des régiments au Tchad, au Kosovo et en Afghanistan », a ajouté le président Andry Rajoelina.

 

« Mais laissons la justice travailler, je n’ai aucun problème personnel dans mes relations avec la France », a ajouté le président malgache. « Il faut attendre les résultats de l’enquête qui révéleront si c’est un acte isolé ou non. C’est l’enquête qui va répondre à tout cela », a-t-il poursuivi.

 

Andry Rajoelina condamne cette tentative de coup d’Etat impliquant deux ressortissants de la France

 

Le président malgache s’est également interrogé sur le statut de « conseiller de l’archevêque d’Antananarivo » du cerveau présumé de cette affaire. « Sur le CV et les cartes de visite du cerveau de ce projet d’assassinat, il est écrit qu’il est conseiller de l’archevêque d’Antananarivo. Mais tout ce que je peux dire, c’est que j’ai reçu une lettre du Vatican en signe de solidarité après ce projet d’assassinat », a assuré Andry Rajoelina.

Le 22 juillet, le parquet malgache a annoncé avoir arrêté plusieurs personnes pour une tentative de coup d’Etat, dont deux Français. Ils auraient projeté de tuer plusieurs personnalités, notamment le chef de l’Etat malgache. Le chef de l’État malgache, élu en 2018, a fermement condamné ce coup d’État présumé, soulignant que « la divergence de vues ne justifie pas un meurtre ».

 

Avec Le Parisien

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