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Sanctions post-coup d’État : Le Niger rétablit la taxe sur les …



En réponse aux sanctions économiques imposées depuis le coup d’État militaire du 26 juillet 2023, le Niger a annoncé le rétablissement de la taxe sur la terminaison du trafic international entrant (Tattie) sur les appels internationaux. Selon un communiqué du gouvernement, cette décision a été prise en raison des conséquences des sanctions sur l’économie du pays.

Elle avait été supprimée en 2022, « mais au regard des sanctions infligées à notre pays (…) il a été jugé utile de rétablir cette taxe qui, bien recouvrée, peut générer au bénéfice du Trésor de l’État plus de 20 milliards de francs CFA (30 millions d’euros) par an ».

La taxe avait été supprimée en 2022, mais le gouvernement estime qu’il est opportun de la réintroduire compte tenu des sanctions infligées au pays. La taxe, une fois rétablie, pourrait générer plus de 20 milliards de francs CFA (30 millions d’euros) par an pour le Trésor de l’État. Le montant exact de la taxe n’a pas été spécifié dans l’annonce.

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Par ailleurs, le gouvernement a adopté le budget 2024, d’un montant de 2.653 milliards de francs CFA (4 milliards d’euros), dans un contexte marqué par la persistance des sanctions. Des « mesures nouvelles » ont été prises pour relancer l’économie, notamment un soutien au secteur privé, des exonérations, des retenues sur certains impôts et taxes, et des actions contre la fraude fiscale.

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« Des mesures nouvelles » en vue de « relancer l’économie » ont été adoptées: « soutien au secteur privé », « exonérations », « retenues sur certains impôts et taxes », « lutte contre la fraude et l’évasion fiscale », selon le gouvernement.

Le Niger fait face à des sanctions économiques et financières depuis le 30 juillet de la part de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) en raison du coup d’État militaire ayant renversé le président élu Mohamed Bazoum en juillet. Ces sanctions ont entraîné une hausse des prix des denrées alimentaires et une pénurie de produits essentiels, accentuant les difficultés économiques du pays. En réponse, le Niger cherche à prendre des mesures pour atténuer l’impact de ces sanctions sur son économie.

 

 

 

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