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Nigeria : 14 étudiants de Kaduna libérés



Les ravisseurs ont libéré les 14 étudiants restants qui avaient été détenus après avoir été enlevés, le mois dernier, dans une université du Nord du Nigeria, ont indiqué des responsables. Des groupes armés ont attaqué, à plusieurs reprises, des écoles et des universités dans le Nord-Ouest du Nigeria au cours des derniers mois, enlevant plus de 700 étudiants contre rançon depuis décembre.

L’incapacité des forces de sécurité à réprimer les gangs de kidnappeurs a déclenché des protestations contre l’inaction perçue du gouvernement. Des hommes armés avaient pris d’assaut l’université de Greenfield dans l’État Nord-Ouest de Kaduna, le 20 avril dernier. Ils ont tué une personne pendant le raid et, dans les jours qui ont suivi l’attaque, ont tué 5 de ceux qu’ils avaient pris en otage.

« Quatorze des étudiants enlevés de l’université ont été libérés », a déclaré samedi Simeon Nwakacha, un des responsables de l’Université de Greenfield, à l’agence de presse Reuters. Le commissaire à la sécurité de l’État de Kaduna, Samuel Aruwan, a précisé que les 14 étudiants enlevés à l’université avaient été libérés et retrouvés à côté d’une route reliant Kaduna et la capitale Abuja, samedi vers 13h GMT. Mais, il n’a pas été très clair si les otages avaient été libérés en échange d’un paiement de rançon.

L’enlèvement contre rançon est devenu courant, ces dernières années, dans de nombreuses régions du Nigeria, avec des hommes d’affaires, des fonctionnaires et des citoyens kidnappés dans la rue par des criminels à la recherche d’une rançon. Les gangs sont en grande partie motivés par des questions financières et n’ont pas de tendances idéologiques connues comme Boko Haram. Mais il y a des inquiétudes qu’ils soient infiltrés par des groupes rebelles.

« Au moins 11 millions de dollars ont été versés à des ravisseurs entre janvier 2016 et mars 2020 », selon SB Morgen, un cabinet de conseil en recherche géopolitique basé à Lagos. En février dernier, le Président Muhammadu Buhari a exhorté les gouvernements des États à revoir leur politique consistant à « récompenser les bandits avec de l’argent et des véhicules ».

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