En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Massacre en Ouganda : l’opposition demande le rapatriement des troupes pour renforcer la sécurité



L’opposition en Ouganda a vivement réagi au récent massacre survenu dans un lycée, demandant le rapatriement des troupes ougandaises déployées à l’étranger pour renforcer la sécurité. Cette attaque meurtrière, attribuée à des jihadistes, a causé la mort d’au moins 42 personnes, principalement des étudiants.

Les victimes, dont la plus jeune avait seulement 12 ans et la plus âgée 95 ans, ont été tuées de manière brutale, à coups de machettes, par balles ou brûlées vives, lors de la nuit du vendredi au samedi à Mpondwe, près de la frontière avec la République démocratique du Congo.

Lire aussi : Massacre en Ouganda : la population traumatisée attend le résultat de l’enquête

ADF et le lien avec le groupe Etat islamique

Massacre En Ouganda : La Population Traumatisée Attend Le Résultat De L'Enquête

Peu de temps après le massacre, les autorités militaires et policières ougandaises avaient pointé du doigt les membres des Forces démocratiques alliées (ADF), une milice islamiste ayant prêté allégeance au groupe Etat islamique. Toutefois, l’opposition, représentée par Abdallah Kiwanuka, ministre d’un cabinet fantôme chargé des affaires intérieures, a exprimé son désaccord quant au déploiement des troupes ougandaises à l’étranger.

Selon lui, cette décision a dépassé les capacités de sécurité du pays, offrant ainsi aux ADF la possibilité de mener de telles attaques. Il a ainsi demandé au gouvernement de rapatrier les forces pour renforcer la sécurité intérieure.

En parallèle, les autorités ont procédé à l’arrestation de 21 personnes, soupçonnées d’être des « collaborateurs » des ADF. Cependant, de nombreuses interrogations persistent quant à la manière dont les assaillants ont pu commettre ce massacre et s’enfuir dans une région où la présence militaire est importante.

Le président Museveni promet de trouver les responsables

Massacre Dans Un Lycée En Ouganda : Arrestations De Complices Présumés Des Rebelles Adf

Face à cette tragédie, le président Yoweri Museveni a qualifié l’acte de « désespéré » et « lâche », promettant de traquer et d’éliminer les responsables de cette attaque sanglante. Il s’agit du pire massacre de ce genre survenu en Ouganda depuis des années, surpassant même l’attentat à Kampala en 2010, revendiqué par le groupe terroriste shebab et ayant causé la mort de 76 personnes.

Selon un rapport des Nations Unies, les rebelles ADF bénéficient depuis 2019 du soutien financier du groupe Etat islamique et cherchent à étendre leurs activités. Cette situation soulève de sérieuses inquiétudes quant à la sécurité intérieure de l’Ouganda et appelle à une action rapide et décisive.

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !