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Le saviez-vous ? Jack Ma le milliardaire chinois et fondateur de Alibaba est un expert en art martiaux



Milliardaire et grand philanthrope, Jack Ma est un homme d’affaires chinois qui croule sous des milliards.
Étant aussi le fondateur du premier site de commerce en ligne Alibaba, il dispose de compétences très poussées en buisness.
Mais détrompez vous Jack Ma n’est pas qu’un homme d’affaires très fortuné.
Ayant grandi en Chine, il accorde une valeur particulières aux traditions et à l’art chinois.
Un attachement particulier qui fait aussi de lui un expert en arts martiaux car ces derniers font partie intégrante de la culture chinoise.

A travers plusieurs vidéos circulant sur le web, on peut le voir à l’oeuvre et le confondre très facilement à un grand maître Shaolin

 

Ma Yun (chinois simplifié : 马云 ; pinyin : mǎ yún), dit Jack Ma, né le à Hangzhou, est un homme d’affaires chinois. Principalement connu pour avoir été le premier marchand en ligne au monde, il créé le site internet de commerce électronique Alibaba.com et est à présent le président d’Alibaba Group qui possède aliexpress.com (全球速卖通).

Ma, son nom de famille, Yun étant son prénom, est né en septembre 1964 à Hangzhou, en Chine. Jack est le prénom usuel occidental qu’il s’est choisi en cours d’anglais car la pratique est courante en Chine. Bien que Jack Ma l’a suivie, cette pratique reste plus rare en Chine continentale. À Taïwan, il est commun d’officialiser son prénom occidental sur ses documents d’identité, ce que fit, par exemple, Eric Chu (Chu Li-luan), maire de Taïpeï.

Il sort diplômé d’une licence d’anglais de l’université normale de Hangzhou en 1988.

Lors de sa vie d’étudiant, Ma Yun s’est vu refuser l’entrée à l’école de police, a été recalé dix fois à l’entrée de Harvard, et a même été refusé pour servir du poulet frit par les premiers KFC chinois. Il a exercé divers petits boulots, dont celui de livreur en tricycle, et monta son agence d’interprètes.

Il devient professeur d’anglais à l’Hangzhou Dianzi University (en) (杭州电子工学院, hángzhōu diànzǐ gōngxuéyuàn, « Campus technique d’électronique de Hangzhou »), aujourd’hui Université polytechnique d’électronique de Hangzhou (zh) (杭州电子科技大学, hángzhōu diànzǐ kējì dàxué). Il y rencontre sa future épouse, Zhang Ying, qui travaillera plus tard avec lui à la création d’Alibaba.com4.

Accompagnant une délégation chinoise aux États-Unis comme traducteur en 1995, il découvre Internet puis observe le fonctionnement des startups de la Silicon Valley

En 1995, il crée China Pages, l’un des premiers sites internet chinois. Puis il fonde Alibaba.com (阿里巴巴, ālǐbābā) en 1999, Taobao (淘宝网, táobǎo wǎng) en 2003, plateforme du e-commerce qui contrôle 10 ans plus tard 80 % du commerce en ligne chinois (en un an, entre 2013 et 2014, l’entreprise a vendu pour 296 milliards de dollars de marchandises)

Il se présente en maître du kung-fu à la télévision, et à une autre occasion se déguise en punk pour la fête d’anniversaire d’Alibaba donnée en 2009 dans un stade. Il y chante « Can You Feel the Love Tonight », de Le Roi Lion, devant des milliers de spectateurs.

Il crée enfin aliexpress.com (全球速卖通, quánqiú sùmài tōng, « vente expresse libre planétaire ») en avril 2010, un site de vente en gros et au détail aux particuliers et entreprises, à prix de gros qui s’ouvre au marché mondial.

En août 2013, il rachète une partie du site américain ShopRunner, afin d’améliorer sa filière de distribution aux États-Unis d’Amérique7. En 2016, Jack Ma achète le château de Sours, un vignoble bordelais à Saint-Quentin-de-Baron. Au total, il possède quatre domaines bordelais et a créé une maison de négoce, Cellar Privilège, avec trois amis.

En 2015, il rachète le South China Morning Post, un quotidien critique à l’égard du régime. Certains observateurs notent que cette opération a pour but de museler le journal. Biographe de la deuxième fortune de Chine, Duncan Clark estime cependant que Jack Ma arrive à « être amoureux du gouvernement sans jamais se marier avec lui », jouant « subtilement avec la ligne séparant ce qu’il est possible de faire ou non avec les autorités ». Le projet entrepreneurial de Jack Ma avec Alibaba s’inscrit en effet dans la politique du régime chinois, notamment en stimulant la croissance par la consommation. En novembre 2018, le Quotidien du peuple révèle que Jack Ma est membre du Parti communiste.

En 2016, le président d’Alibaba a annoncé qu’il comptait investir 7 milliards de dollars dans le domaine des médias.

En mai 2018, dans un contexte de censure de l’Internet chinois, 300 acteurs du web se regroupent en une fédération pour soutenir les « valeurs centrales du socialisme » et donc du Parti communiste au pouvoir. Robin Li (patron de Baidu), Jack Ma et Pony Ma (patron de Tencent) en sont nommés vice-présidents.

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La vedette de films d’action Jet Li, à gauche, et le PDG du groupe Alibaba Jack Ma, font la promotion du Gong Shou Dao, un art martial tiré du tai-chi, avant une compétition sportive mercredi à Beijing.

Lire aussi : Le milliardaire chinois Jack Ma débarque pour la première fois au Togo

Un nouveau type d’art martial chinois appelé Gong Shou Dao (GSD), inspiré du tai-chi, a été dévoilé mercredi.

Ses fondateurs, le PDG du groupe Alibaba Jack Ma et la star de cinéma Jet Li, ont annoncé que leur objectif est de faire du GSD un sport olympique.

Sur une plate-forme d’un mètre et demi de hauteur et de trois mètres de diamètre, deux sportifs s’affrontent en utilisant les techniques traditionnelles du tai-chi. Cette nouvelle forme de compétition d’arts martiaux est nommée GSD.

« Depuis que les arts martiaux ont figuré aux Jeux asiatiques de 1990, tous les professionnels d’arts martiaux de Chine pensent au jour où ils participeront aux Jeux olympiques. Nous y travaillons depuis plusieurs décennies, mais ce n’est pas encore le cas », a déclaré M. Li.

« J’ai essayé de trouver les raisons pour lesquelles les arts martiaux ne sont pas reconnus aux Jeux olympiques. Quand j’ai fait part à mon ami Jack Ma de mes idées il y a plusieurs années, nous sommes tombés d’accord sur le fait que nous n’avions pas encore posé la question de front. »

Jet Li et Jack Ma ont étudié l’expérience du Japon et de la Corée du Sud, qui ont réussi à faire reconnaître respectivement le judo et le taekwondo aux Jeux olympiques.

Les deux hommes ont décidé de se concentrer sur un seul type d’arts martiaux chinois et d’essayer de le modifier pour répondre aux exigences d’un sport olympique et le promouvoir dans le monde. Leur choix s’est porté sur le tai-chi, un art martial chinois emblématique.

« Il y a environ 150 millions de personnes qui pratiquent le tai-chi dans le monde, mais la plupart ont plus de quarante ans. Si nous voulons impliquer plus de jeunes et répondre aux normes olympiques, nous devons apporter quelques changements », a-t-il ajouté.

A la différence des autres sports d’arts martiaux, toutes les techniques utilisées dans le GSD s’inspirent du tai-chi.

« La plupart des gens pratiquent le tai-chi par eux-mêmes, nous parlons de tai-chi 1.0. Certains pratiquent un tai-chi plus énergique que nous appelons tui-shou, c’est la version 2.0 », explique Jet Li. « Nous avons maintenant le GSD, et nous pensons que c’est la version 3.0, qui intègre plus d’éléments des sports modernes. Nous savons qu’il ne sera pas facile d’obtenir une qualification pour les Jeux olympiques, et nous prenons le risque d’essuyer de nombreux échecs, mais nous devons essayer. C’est notre rêve. »

Jet Li a commencé rendre les arts martiaux à l’âge de huit ans et est devenu champion des Jeux nationaux en 1975, alors qu’il n’avait que douze ans.

Le moment qui a changé sa carrière est arrivé en 1982 avec le tournage du film Le Temple de Shaolin, qui a connu un succès sans précédent en Chine et qui a fait de Jet Li l’une des plus grandes vedettes du cinéma d’action.

Jack Ma, fondateur du groupe Alibaba, pratique le tai-chi depuis trois décennies. Il parle souvent de ses bienfaits pour la santé, en disant qu’il transcende le bien-être physique et offre aux pratiquants une élévation spirituelle qui améliore leur vie quotidienne. Il affirme que le tai-chi mérite une place de choix dans le monde du sport en Chine et à l’étranger.

Il y a une semaine, un court métrage intitulé Gong Shou Dao a été présenté dans les cinémas et sur les sites de vidéos en ligne. Jack Ma et onze célèbres champions d’arts martiaux et acteurs y figurent.

Jack Ma, qui joue le rôle d’un maître de tai-chi, a expliqué que son objectif était de rendre hommage au sport et de promouvoir le GSD. « Le tai-chi est une philosophie qui met l’accent sur l’équilibre du yin et du yang, les deux principes opposés de la nature. J’utilise cette philosophie dans la gestion de mon entreprise et je suis convaincu que cela peut bénéficier à chacun au quotidien », a-t-il déclaré.

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