En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

« Je réaffime que seule une… » : Mahamadou Issoufou, l’ex-président du Niger trouve l’ultime solution à la crise actuelle



L’ancien président du Niger, Mahamadou Issoufou, en retrait depuis le coup d’État du 26 juillet, a exprimé samedi son point de vue sur la situation actuelle au Niger, en plaidant en faveur d’une solution négociée plutôt que d’une intervention militaire étrangère pour rétablir l’ordre constitutionnel.

Dans une série de publications sur X (anciennement Twitter), M. Issoufou a souligné : « Toujours préoccupé par la grave crise que connaît mon pays, le Niger, je réaffirme que seule une solution négociée ouvrira la voie au retour rapide à un ordre démocratique stable ».

Il a mis en garde contre les conséquences imprévisibles d’une intervention militaire étrangère, soulignant que cela entraînerait une instabilité durable. Il a déclaré : « Plus qu’une erreur, y recourir serait une faute. Je suis sûr que les chefs d’État de la Cedeao puiseront dans leur immense sagesse pour ne pas commettre une telle faute ».

La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) avait menacé à plusieurs reprises d’intervenir militairement pour rétablir le président renversé, Mohamed Bazoum, qui avait succédé à M. Issoufou. Cependant, elle a toujours priorisé la voie diplomatique et n’a pas encore mis en œuvre une action militaire.

Bien que soutenue par plusieurs pays occidentaux, dont la France, la Cedeao s’est récemment montrée relativement silencieuse quant à une éventuelle intervention militaire.

Depuis le coup d’État, des rumeurs ont circulé sur les réseaux sociaux concernant le rôle présumé de Mahamadou Issoufou dans le coup d’État du 26 juillet. M. Issoufou a catégoriquement nié ces allégations dans une interview accordée à Jeune Afrique le 17 août, et il a appelé à la libération de M. Bazoum et à sa réintégration dans ses fonctions présidentielles.

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !