Tensions à l’ONU : Le Niger s’en prend au secrétaire général Antonio Guterres



Après la controverse entourant la participation du Niger à l’Assemblée générale des Nations unies, le gouvernement militaire issu d’un coup d’État au Niger a vivement critiqué Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU. Dans un communiqué diffusé à la télévision publique le vendredi 22 septembre, le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), les instigateurs du coup d’État de juillet, ainsi que le gouvernement de la République du Niger, ont accusé M. Guterres de perturber les efforts visant à résoudre la crise dans le pays.

Selon le communiqué, M. Guterres « a mal rempli sa mission en obstruant la participation pleine du Niger à la 78e session de l’Assemblée générale de l’ONU ».

Lors de cette Assemblée générale, le régime militaire en place avait désigné son nouveau ministre des affaires étrangères, Bakary Yaou Sangaré, qui occupait auparavant le poste de représentant du pays auprès de l’ONU avant le coup d’État du 26 juillet. Le communiqué de Niamey souligne que M. Guterres a non seulement rejeté la liste officielle des délégués du Niger, mais a également accepté la demande fantaisiste de l’ancien ministre des affaires étrangères, Hassoumi Massaoudou, de révoquer le représentant permanent du Niger auprès des Nations unies.

Le CNSP a vivement protesté contre cette ingérence présumée de M. Guterres dans les affaires intérieures d’un État souverain, tout en pointant du doigt une complicité présumée de la France et de deux dirigeants francophones ouest-africains. Bien que leurs noms ne soient pas explicitement mentionnés.

Stéphane Dujarric, le porte-parole d’Antonio Guterres, a rejeté les allégations du Niger, soulignant que dans le cas de litiges concernant les lettres de créance émanant d’un État membre, le secrétaire général renvoie la question à la commission de vérification des pouvoirs de l’Assemblée générale, qui délibère sur le sujet. Il a précisé que le secrétaire général ne prend pas de décision unilatérale.

Selon une source diplomatique, l’ONU a reçu deux demandes distinctes concernant la participation du Niger à l’Assemblée générale, l’une provenant de Bakary Yaou Sangaré et l’autre émanant du gouvernement renversé. En conséquence, la question a été renvoyée à la commission de vérification des pouvoirs, qui ne se réunit généralement pas avant l’automne, et aucun représentant du Niger ne figure sur la liste des intervenants prévue pour l’Assemblée générale.

Cette commission, composée de neuf membres, examine les cas litigieux sans toutefois prendre de décisions. Elle a déjà reporté à plusieurs reprises ses décisions concernant la Birmanie et l’Afghanistan, où les ambassadeurs des anciens gouvernements continuent de représenter les pays à l’ONU.

Le vendredi, les nouvelles autorités de Niamey ont également émis des avis de recherche à l’encontre de plusieurs responsables du gouvernement déchu, notamment M. Massaoudou et d’autres anciens ministres. Certains de ces individus étaient à l’extérieur du Niger au moment du coup d’État, tandis que d’autres ont réussi à quitter le pays par la suite. Selon plusieurs médias locaux, divers dignitaires de l’ancien régime ont été incarcérés dans différentes prisons du pays.

 

 

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Après la controverse entourant la participation du Niger à l’Assemblée générale des Nations unies, le gouvernement militaire issu d’un coup d’État au Niger a vivement critiqué Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU. Dans un communiqué diffusé à la télévision publique le vendredi 22 septembre, le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), les instigateurs du coup d’État de juillet, ainsi que le gouvernement de la République du Niger, ont accusé M. Guterres de perturber les efforts visant à résoudre la crise dans le pays.

Selon le communiqué, M. Guterres « a mal rempli sa mission en obstruant la participation pleine du Niger à la 78e session de l’Assemblée générale de l’ONU ».

Lors de cette Assemblée générale, le régime militaire en place avait désigné son nouveau ministre des affaires étrangères, Bakary Yaou Sangaré, qui occupait auparavant le poste de représentant du pays auprès de l’ONU avant le coup d’État du 26 juillet. Le communiqué de Niamey souligne que M. Guterres a non seulement rejeté la liste officielle des délégués du Niger, mais a également accepté la demande fantaisiste de l’ancien ministre des affaires étrangères, Hassoumi Massaoudou, de révoquer le représentant permanent du Niger auprès des Nations unies.

Le CNSP a vivement protesté contre cette ingérence présumée de M. Guterres dans les affaires intérieures d’un État souverain, tout en pointant du doigt une complicité présumée de la France et de deux dirigeants francophones ouest-africains. Bien que leurs noms ne soient pas explicitement mentionnés.

Stéphane Dujarric, le porte-parole d’Antonio Guterres, a rejeté les allégations du Niger, soulignant que dans le cas de litiges concernant les lettres de créance émanant d’un État membre, le secrétaire général renvoie la question à la commission de vérification des pouvoirs de l’Assemblée générale, qui délibère sur le sujet. Il a précisé que le secrétaire général ne prend pas de décision unilatérale.

Selon une source diplomatique, l’ONU a reçu deux demandes distinctes concernant la participation du Niger à l’Assemblée générale, l’une provenant de Bakary Yaou Sangaré et l’autre émanant du gouvernement renversé. En conséquence, la question a été renvoyée à la commission de vérification des pouvoirs, qui ne se réunit généralement pas avant l’automne, et aucun représentant du Niger ne figure sur la liste des intervenants prévue pour l’Assemblée générale.

Cette commission, composée de neuf membres, examine les cas litigieux sans toutefois prendre de décisions. Elle a déjà reporté à plusieurs reprises ses décisions concernant la Birmanie et l’Afghanistan, où les ambassadeurs des anciens gouvernements continuent de représenter les pays à l’ONU.

Le vendredi, les nouvelles autorités de Niamey ont également émis des avis de recherche à l’encontre de plusieurs responsables du gouvernement déchu, notamment M. Massaoudou et d’autres anciens ministres. Certains de ces individus étaient à l’extérieur du Niger au moment du coup d’État, tandis que d’autres ont réussi à quitter le pays par la suite. Selon plusieurs médias locaux, divers dignitaires de l’ancien régime ont été incarcérés dans différentes prisons du pays.

 

 

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    Selon le communiqué, M. Guterres « a mal rempli sa mission en obstruant la participation pleine du Niger à la 78e session de l’Assemblée générale de l’ONU ».

    Lors de cette Assemblée générale, le régime militaire en place avait désigné son nouveau ministre des affaires étrangères, Bakary Yaou Sangaré, qui occupait auparavant le poste de représentant du pays auprès de l’ONU avant le coup d’État du 26 juillet. Le communiqué de Niamey souligne que M. Guterres a non seulement rejeté la liste officielle des délégués du Niger, mais a également accepté la demande fantaisiste de l’ancien ministre des affaires étrangères, Hassoumi Massaoudou, de révoquer le représentant permanent du Niger auprès des Nations unies.

    Le CNSP a vivement protesté contre cette ingérence présumée de M. Guterres dans les affaires intérieures d’un État souverain, tout en pointant du doigt une complicité présumée de la France et de deux dirigeants francophones ouest-africains. Bien que leurs noms ne soient pas explicitement mentionnés.

    Stéphane Dujarric, le porte-parole d’Antonio Guterres, a rejeté les allégations du Niger, soulignant que dans le cas de litiges concernant les lettres de créance émanant d’un État membre, le secrétaire général renvoie la question à la commission de vérification des pouvoirs de l’Assemblée générale, qui délibère sur le sujet. Il a précisé que le secrétaire général ne prend pas de décision unilatérale.

    Selon une source diplomatique, l’ONU a reçu deux demandes distinctes concernant la participation du Niger à l’Assemblée générale, l’une provenant de Bakary Yaou Sangaré et l’autre émanant du gouvernement renversé. En conséquence, la question a été renvoyée à la commission de vérification des pouvoirs, qui ne se réunit généralement pas avant l’automne, et aucun représentant du Niger ne figure sur la liste des intervenants prévue pour l’Assemblée générale.

    Cette commission, composée de neuf membres, examine les cas litigieux sans toutefois prendre de décisions. Elle a déjà reporté à plusieurs reprises ses décisions concernant la Birmanie et l’Afghanistan, où les ambassadeurs des anciens gouvernements continuent de représenter les pays à l’ONU.

    Le vendredi, les nouvelles autorités de Niamey ont également émis des avis de recherche à l’encontre de plusieurs responsables du gouvernement déchu, notamment M. Massaoudou et d’autres anciens ministres. Certains de ces individus étaient à l’extérieur du Niger au moment du coup d’État, tandis que d’autres ont réussi à quitter le pays par la suite. Selon plusieurs médias locaux, divers dignitaires de l’ancien régime ont été incarcérés dans différentes prisons du pays.

     

     

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  • Antonio Guterres
  • Après la controverse entourant la participation du Niger à l’Assemblée générale des Nations unies, le gouvernement militaire issu d’un coup d’État au Niger a vivement critiqué Antonio Guterres, le secrétaire général de l’ONU. Dans un communiqué diffusé à la télévision publique le vendredi 22 septembre, le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), les instigateurs du coup d’État de juillet, ainsi que le gouvernement de la République du Niger, ont accusé M. Guterres de perturber les efforts visant à résoudre la crise dans le pays.

    Selon le communiqué, M. Guterres « a mal rempli sa mission en obstruant la participation pleine du Niger à la 78e session de l’Assemblée générale de l’ONU ».

    Lors de cette Assemblée générale, le régime militaire en place avait désigné son nouveau ministre des affaires étrangères, Bakary Yaou Sangaré, qui occupait auparavant le poste de représentant du pays auprès de l’ONU avant le coup d’État du 26 juillet. Le communiqué de Niamey souligne que M. Guterres a non seulement rejeté la liste officielle des délégués du Niger, mais a également accepté la demande fantaisiste de l’ancien ministre des affaires étrangères, Hassoumi Massaoudou, de révoquer le représentant permanent du Niger auprès des Nations unies.

    Le CNSP a vivement protesté contre cette ingérence présumée de M. Guterres dans les affaires intérieures d’un État souverain, tout en pointant du doigt une complicité présumée de la France et de deux dirigeants francophones ouest-africains. Bien que leurs noms ne soient pas explicitement mentionnés.

    Stéphane Dujarric, le porte-parole d’Antonio Guterres, a rejeté les allégations du Niger, soulignant que dans le cas de litiges concernant les lettres de créance émanant d’un État membre, le secrétaire général renvoie la question à la commission de vérification des pouvoirs de l’Assemblée générale, qui délibère sur le sujet. Il a précisé que le secrétaire général ne prend pas de décision unilatérale.

    Selon une source diplomatique, l’ONU a reçu deux demandes distinctes concernant la participation du Niger à l’Assemblée générale, l’une provenant de Bakary Yaou Sangaré et l’autre émanant du gouvernement renversé. En conséquence, la question a été renvoyée à la commission de vérification des pouvoirs, qui ne se réunit généralement pas avant l’automne, et aucun représentant du Niger ne figure sur la liste des intervenants prévue pour l’Assemblée générale.

    Cette commission, composée de neuf membres, examine les cas litigieux sans toutefois prendre de décisions. Elle a déjà reporté à plusieurs reprises ses décisions concernant la Birmanie et l’Afghanistan, où les ambassadeurs des anciens gouvernements continuent de représenter les pays à l’ONU.

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  • coup d'État au Niger
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    Selon le communiqué, M. Guterres « a mal rempli sa mission en obstruant la participation pleine du Niger à la 78e session de l’Assemblée générale de l’ONU ».

    Lors de cette Assemblée générale, le régime militaire en place avait désigné son nouveau ministre des affaires étrangères, Bakary Yaou Sangaré, qui occupait auparavant le poste de représentant du pays auprès de l’ONU avant le coup d’État du 26 juillet. Le communiqué de Niamey souligne que M. Guterres a non seulement rejeté la liste officielle des délégués du Niger, mais a également accepté la demande fantaisiste de l’ancien ministre des affaires étrangères, Hassoumi Massaoudou, de révoquer le représentant permanent du Niger auprès des Nations unies.

    Le CNSP a vivement protesté contre cette ingérence présumée de M. Guterres dans les affaires intérieures d’un État souverain, tout en pointant du doigt une complicité présumée de la France et de deux dirigeants francophones ouest-africains. Bien que leurs noms ne soient pas explicitement mentionnés.

    Stéphane Dujarric, le porte-parole d’Antonio Guterres, a rejeté les allégations du Niger, soulignant que dans le cas de litiges concernant les lettres de créance émanant d’un État membre, le secrétaire général renvoie la question à la commission de vérification des pouvoirs de l’Assemblée générale, qui délibère sur le sujet. Il a précisé que le secrétaire général ne prend pas de décision unilatérale.

    Selon une source diplomatique, l’ONU a reçu deux demandes distinctes concernant la participation du Niger à l’Assemblée générale, l’une provenant de Bakary Yaou Sangaré et l’autre émanant du gouvernement renversé. En conséquence, la question a été renvoyée à la commission de vérification des pouvoirs, qui ne se réunit généralement pas avant l’automne, et aucun représentant du Niger ne figure sur la liste des intervenants prévue pour l’Assemblée générale.

    Cette commission, composée de neuf membres, examine les cas litigieux sans toutefois prendre de décisions. Elle a déjà reporté à plusieurs reprises ses décisions concernant la Birmanie et l’Afghanistan, où les ambassadeurs des anciens gouvernements continuent de représenter les pays à l’ONU.

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    Selon le communiqué, M. Guterres « a mal rempli sa mission en obstruant la participation pleine du Niger à la 78e session de l’Assemblée générale de l’ONU ».

    Lors de cette Assemblée générale, le régime militaire en place avait désigné son nouveau ministre des affaires étrangères, Bakary Yaou Sangaré, qui occupait auparavant le poste de représentant du pays auprès de l’ONU avant le coup d’État du 26 juillet. Le communiqué de Niamey souligne que M. Guterres a non seulement rejeté la liste officielle des délégués du Niger, mais a également accepté la demande fantaisiste de l’ancien ministre des affaires étrangères, Hassoumi Massaoudou, de révoquer le représentant permanent du Niger auprès des Nations unies.

    Le CNSP a vivement protesté contre cette ingérence présumée de M. Guterres dans les affaires intérieures d’un État souverain, tout en pointant du doigt une complicité présumée de la France et de deux dirigeants francophones ouest-africains. Bien que leurs noms ne soient pas explicitement mentionnés.

    Stéphane Dujarric, le porte-parole d’Antonio Guterres, a rejeté les allégations du Niger, soulignant que dans le cas de litiges concernant les lettres de créance émanant d’un État membre, le secrétaire général renvoie la question à la commission de vérification des pouvoirs de l’Assemblée générale, qui délibère sur le sujet. Il a précisé que le secrétaire général ne prend pas de décision unilatérale.

    Selon une source diplomatique, l’ONU a reçu deux demandes distinctes concernant la participation du Niger à l’Assemblée générale, l’une provenant de Bakary Yaou Sangaré et l’autre émanant du gouvernement renversé. En conséquence, la question a été renvoyée à la commission de vérification des pouvoirs, qui ne se réunit généralement pas avant l’automne, et aucun représentant du Niger ne figure sur la liste des intervenants prévue pour l’Assemblée générale.

    Cette commission, composée de neuf membres, examine les cas litigieux sans toutefois prendre de décisions. Elle a déjà reporté à plusieurs reprises ses décisions concernant la Birmanie et l’Afghanistan, où les ambassadeurs des anciens gouvernements continuent de représenter les pays à l’ONU.

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