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Italie : Silvio Berlusconi abandonne sa candidature à la présidentielle



L’ancien Premier ministre a insisté sur le fait qu’il avait suffisamment de soutien mais qu’il ne chercherait pas le poste. Un autre candidat majeur, l’actuel Premier ministre Mario Draghi, a éludé les questions sur sa candidature.

L’ancien Premier ministre italien Silvio Berlusconi a abandonné samedi son intention de se présenter à l’élection présidentielle italienne.

Le président italien, un rôle largement cérémoniel, est élu par les membres des deux chambres du parlement ainsi que par les représentants des régions et des provinces autonomes du pays.

Le président italien sortant, Sergio Mattarella, est un indépendant politique élu en 2015.

« Je servirai mon pays d’une autre manière »

La déclaration de Berlusconi a été lue par un représentant lors d’une réunion virtuelle de trois des partis de droite italiens.

« J’ai décidé de suivre une autre voie de la responsabilité nationale et de demander à tout le monde de s’abstenir de proposer mon nom pour être président de la république », indique le communiqué.

« Je servirai mon pays d’une autre manière. »

Berlusconi insiste sur le fait qu’il avait suffisamment de soutien

Les partis nationalistes Fratelli d’Italia (FdI, Frères d’Italie) et de la Ligue avaient promis leur soutien à Berlusconi. Cependant, les votes de ces deux partis et du parti de centre-droit Forza Italia de Berlusconi ne suffisent pas à faire passer un candidat à la présidence.

Berlusconi a déclaré qu’il avait suffisamment de soutien, mais qu’il ne voulait pas chercher ce poste. Au lieu de cela, il a demandé qu’un autre candidat soit proposé par Forza Italia, la Ligue et le FdI.

Les analystes ont douté que Berlusconi ait déjà réuni le soutien nécessaire.

Matteo Salvini, le chef du parti nationaliste de la Ligue, a salué la décision « généreuse » de Berlusconi, qui, selon lui, leur a permis de proposer des candidats « sans plus de veto de la gauche ».

Une majorité des deux tiers est requise lors des trois premiers tours de scrutin, ce qui signifie qu’il est peu probable qu’un vainqueur émerge rapidement. Le quatrième tour requiert une majorité simple.

Le PM Mario Draghi un candidat majeur

L’actuel Premier ministre, Mario Draghi, est considéré comme un candidat majeur à la présidence. Parce qu’il ne peut pas occuper les deux postes, des négociations sont en cours depuis des semaines sur la manière de procéder avec son gouvernement. Draghi a pendant des mois éludé les questions de savoir s’il se présenterait à la présidence.

Berlusconi et d’autres chefs de parti ont appelé Draghi à rester au poste de Premier ministre, arguant que le gouvernement actuel devrait achever son mandat et adopter des réformes structurelles à la suite de la pandémie de coronavirus.

Rompant avec cette position, la présidente de la FdI, Giorgia Meloni, a appelé à de nouvelles élections générales après la course présidentielle.

Draghi a formé un gouvernement d’union de partis de tout l’éventail politique italien. FdI est l’un des rares groupes qui n’ont pas soutenu Draghi et est actuellement le plus grand parti d’opposition.

Les prochaines élections législatives italiennes auront lieu en 2023.

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