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EN PLUS DE L’ARMÉE, PARROT S’APPRÊTERAIT À FOURNIR SES DRONES À LA POLICE



Il y a 3 mois, l’entreprise française spécialisée dans la confection de drones signait un très beau contrat avec l’US Army. Aujourd’hui, le modèle de drone de reconnaissance demandé par l’armée américaine est fin prêt à prendre son envole. Ce contrat semble avoir été un déclic pour de nombreuses autres administrations. Henry Seydoux, le président fondateur de Parrot a tout d’abord essayé de vendre ses produits aux agriculteurs. Devant le manque d’intérêt de ces derniers, voici désormais que le secteur de la sécurité pourrait redonner des couleurs à Parrot.Alors que le chiffre d’affaires de l’entreprise française est loin d’être au beau fixe, ce nouveau marché se présente comme l’Eldorado. Aux États-Unis, au Canada, mais également en France, les forces de police s’équipent de plus en plus de drones. Dans l’Hexagone, Christophe Castaner, Ministre de l’Intérieur, serait en passe de commander 565 appareils volants. Pendant le confinement, la police parisienne avait tenté d’utiliser des drones pour faire respecter la distanciation sociale, malheureusement, le Conseil d’État a fini par interdire l’usage de ces appareils.

Parrot n’est pas favorisé dans son propre pays.

Toutefois, ce marché est assez sensible en ce moment. Par prudence, Henry Seydoux explique qu’il n’est pas prêt à signer un contrat avec n’importe qui. Il faut préciser que de nombreuses entreprises refusent désormais de vendre des services et technologies à la police américaine largement pointée du doigt depuis des semaines, par exemple. Parrot assure que toutes les règles de protection des données seront respectées dès lors qu’un contrat est officialisé.

Cette prise de position permet également à Parrot de concurrencer directement le géant chinois DJI qui a été plusieurs au centre de discussions concernant la protection des données. En effet, plusieurs accessions évoquent des transferts de données captées par des drones utilisés par les autorités américaines vers des serveurs chinois. Alors que le gouvernement français n’exclut pas DJI de ces plans, Henry Seydoux conclut : « Nul n’est prophète en son pays, sourit Henri Seydoux avec philosophie, mais les armées suisses et anglaises utilisent déjà nos drones. »

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