En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Ce sont les États membres de la CEDEAO qui ne participeront pas



[ad_1]

Voici les États membres de la CEDEAO qui ne vont pas y participer

La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) est une organisation régionale qui vise à promouvoir l’intégration économique et le développement de ses États membres. Cependant, il y a certains États membres qui ont choisi de ne pas participer activement à cette organisation et qui préfèrent garder leur indépendance en matière de politique régionale.

Le premier État membre de la CEDEAO qui ne participe pas activement à l’organisation est la Mauritanie. Bien que la Mauritanie soit géographiquement située en Afrique de l’Ouest, elle a choisi de rejoindre plutôt l’Union du Maghreb arabe (UMA). Ce choix est principalement dû à des considérations historiques, culturelles et géopolitiques, car la Mauritanie partage une frontière terrestre avec d’autres pays du Maghreb.

Ensuite, il y a le Maroc, qui est également un État membre de la CEDEAO qui ne participe pas activement à l’organisation. Le Maroc a choisi d’adhérer à la CEDEAO en 2017 dans le but de diversifier ses partenaires économiques et politiques, mais il a depuis décidé de ne pas participer pleinement aux activités de l’organisation en raison de divergences politiques et de différences de priorités régionales.

Un autre État membre de la CEDEAO qui ne participe pas activement à l’organisation est la Guinée équatoriale. Bien que la Guinée équatoriale ait rejoint la CEDEAO en 2017, elle a été suspendue de l’organisation en 2018 en raison de violations des principes démocratiques et des droits de l’homme. Cette suspension a conduit à un retrait partiel de la Guinée équatoriale des activités de la CEDEAO, bien qu’elle reste techniquement un État membre.

Enfin, il y a la Tunisie, qui est considérée comme un observateur auprès de la CEDEAO et ne participe donc pas activement à ses activités. La Tunisie a exprimé son intérêt à rejoindre la CEDEAO en tant que membre à part entière, mais il n’y a pas encore eu de décision officielle à ce sujet. La Tunisie entretient des relations économiques et politiques étroites avec les pays de la CEDEAO, en particulier dans les domaines du commerce et de l’intégration régionale.

En conclusion, bien que la CEDEAO soit une organisation régionale importante en Afrique de l’Ouest, il y a certains États membres qui ont choisi de ne pas y participer activement. Que ce soit pour des raisons historiques, culturelles, politiques ou économiques, ces États membres ont préféré maintenir leur indépendance en matière de politique régionale. Cependant, leur rôle d’observateurs ou de participants partiels dans les activités de la CEDEAO témoigne de l’importance de la coopération régionale dans la promotion du développement économique et social de la région.

[ad_2]

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT