Au Burkina Faso, la persistance du conflit entre les forces terroristes et l’armée burkinabè a récemment atteint un nouveau tournant lors d’une confrontation à Moara-Grand (Nayala).
À l’issue d’une offensive, l’armée burkinabè a émergé triomphante, infligeant des pertes significatives aux terroristes. Malgré le succès sur le plan militaire, cette opération a été marquée par un geste inhabituel.
En effet, l’armée a délibérément choisi de ne pas éliminer un terroriste parmi les individus capturés.
Mais, il faudrait souligner que cette clémence ne traduit pas « une faiblesse », mais plutôt une stratégie visant à transmettre un message fort.
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Le terroriste qui a été épargné a reçu la mission de transmettre un avertissement à ses complices : « Il est encore temps de déposer les armes, sinon ils connaîtront le même sort que leurs camarades, consumés par un feu ardent. »
Il faut noter que le Burkina est en pleine mutation et en phase d’éradiquer le terrorisme depuis l’arrivée au pouvoir du Capitaine Ibrahim Traoré.
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Malgré quelques pertes au sein des civils, militaires ou VDP, l’armée semble avoir acquis une certaine supériorité numérique et pulvérise à tout bout de champ les forces du mal.
Dernièrement, ce pays du sahel, tout comme ses voisins du Niger et du Mali, a quitté le G5 Sahel, ce cadre institutionnel de coordination et de suivi de coopération régionale. Quoi qu’il en soit, la situation sécuritaire semble être sous le contrôle de l’armée !
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