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Bars et restos fermés : comment va-t-on séduire par les temps qui courent ?



Pas de terrasses, pas de tapas, pas même une salle de cinéma pour se rouler des pelles devant un mauvais film français ; mais comment va-t-on séduire par les temps qui courent ?
Au Danemark, le gouvernement a considéré qu’avoir des rapports sexuels était de première nécessité et a donc autorisé les célibataires à se rencontrer pendant la pandémie. En France, c’était plutôt chacun chez soi et sextoy pour tous. Alors que le pays se déconfine petit à petit, reviennent les envies de rencontres en chair et en os. «  »En temps normal, beaucoup de gens font le plein de relations sociales au travail, dans les transports ou au sport et ne ressentent pas le fait de vivre seules, explique Catherine Lejealle, sociologue et chercheuse à l’ISC Paris*. Tout d’un coup, le confinement a fait que la solitude a commencé à peser sur celles et ceux qui ne la ressentaient pas. Nous avons besoin de séduire à nouveau, de se jeter des coups d’oeils qui nous disent que nous sommes encore séduisants ». Mais ce besoin de « repartir à l’attaque » n’est pas uniquement une conséquence du confinement selon la chercheuse : « Le déconfinement coïncide avec l’arrivée du printemps, un moment de l’année où l’on a envie de sortir, de partager, de sentir son corps, d’être plus lumineux.ses. C’est aussi le moment où se préparent les vacances, où l’on est dans une ouverture propice aux rencontres ».
Vers un dating old fashioned
Mais avec le maintien des gestes barrières, la distanciation sociale et la fermeture des restaurants et bars qui n’est toujours pas levée, le dating va devenir plus engageant poursuit Catherine Lejealle : « Avant d’aller chez l’un.e ou chez l’autre, on va avoir besoin d’un sas sécuritaire, un espace public visible comme un banc, une forêt, la rue. Organiser ces apéros d’un nouveau genre est déjà un début de coordination et de projet commun » ». Old fashioned le dating post-Covid ? « Tout à fait répond la sociologue. On est loin de l’ambiance des bars. Cela ressemble plus à ce qu’on faisait dans les années 1930 : les bals dans les villages où il y avait beaucoup plus de lumière et où l’on voyait tout ce qui se passait. Tant que les bars ne seront pas ouverts, il va falloir faire avec moins de boosteurs qui désinhibent habituellement : l’alcool, la musique, les jeux de lumière, le maquillage du soir, et revenir à une rencontre plus naturelle avec un peu de maladresse. C’est dans cette zone d’inconfort que vont se créer des choses intéressante » ». Plus de romantisme, une meilleure sélection et l’obligation pour les séducteur.ices pro de se réinventer pour séduire ; la drague déconfinée s’annonce plus réjouissante que prévue.
*autrice de « Les clés du dating » (éd. J.-M. Laffont)

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