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Vitiligo : Le nouveau visage de l’espoir pour des centaines de milliers de Français



Maxime était à l’aube de son adolescence quand les premiers signes de vitiligo sont apparus. Ces taches blanches qui ont commencé à fleurir sur ses mains et ses bras étaient un symptôme typique de cette maladie auto-immune. Ni grave, ni douloureuse, ni contagieuse, la maladie provoque une dépigmentation progressive de la peau.

Maxime se souvient de la progression de la maladie, « Au début, elle n’apparaissait que sous l’œil, et à la fin, au niveau du bras et des mains. » Avec le temps, il a appris à la camoufler et à surmonter le regard des autres.

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Aujourd’hui, un traitement en développement pourrait changer la vie de centaines de milliers de Français. La crème Obselura, mise au point par un laboratoire américain, est présentée comme un remède miracle pour les personnes atteintes de vitiligo. De gauche à droite, on peut observer l’évolution du visage d’un patient après six mois de traitement. Autorisée aux États-Unis depuis deux ans, l’Obselura permettrait une repigmentation de la peau.

Il s’agit donc d’une lueur d’espoir, d’une innovation thérapeutique majeure. Les patients qui étaient souvent informés qu’il n’y avait pas grand-chose à faire sont déjà conscients de l’arrivée de ce traitement.

Cependant, la crème, délivrée sur commande, n’arrivera dans nos pharmacies que dans un an. En attendant, les associations de patients réclament une meilleure prise en charge des traitements existants. En effet, le vitiligo peut être responsable de stress, d’anxiété, de dépression, de retrait social et de stigmatisation.

Estelle, 30 ans, a transformé sa différence en force. Elle assume pleinement ses tâches et compte bien les garder. « Je comprends tout à fait qu’il y a des gens qui veulent se lancer et se faire traiter. Mais pour l’instant, je suis bien comme je suis. Je me suis posée la question, pourquoi pas pour le futur? Mais pour l’instant, c’est mon identité et je reste telle que je suis. »

Quant au jeune comédien atteint de vitiligo, il attend avec impatience le futur traitement, « Comme il a tendance à s’étendre, si un remède est trouvé un jour, je l’essaierais. »

En France, la crème devrait être autorisée pour les adultes et les adolescents à partir de l’âge de 12 ans. Ainsi, pour des centaines de milliers de personnes comme Maxime, l’espoir d’une vie sans les marques du vitiligo pourrait bientôt devenir une réalité.

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