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Présidentielle en Côte d’Ivoire : La jeunesse pro-Gbagbo appelle à la mobilisation le 14 mars



La jeunesse pro-Gbagbo lance une grande mobilisation  le 14 mars. « La lutte s’impose à nous. 2020 est l’année qui va mettre fin à la gouvernance hasardeuse de Ouattara. On va faire ce que vous n’avez jamais vu », a laissé entendre Blaise Lasm, Secrétaire à l’organisation.

Les partisans de Laurent Gbagbo ont lancé la machine pour le meeting du 14 mars. Le Secrétaire national (SN) à l’organisation de la Jeunesse du Front populaire ivoirien (Fpi-pro-Gbagbo), Blaise Lasm, a animé une conférence de presse, mercredi 26 février 2020, au siège de ce parti, à Cocody-Riviera 3, pour annoncer un événement majeur. À l’écouter, ce rassemblement sonnera le tocsin pour la reconquête du pouvoir par le parti de Laurent Gbagbo, en octobre 2020.

De fait, il a annoncé la rentrée politique de la Jfpi du « Parti de Gbagbo », qui est prévue le 14 mars 2020, à l’espace Laurent Gbagbo de Port-Bouët. En sa qualité de Président du comité d’organisation (PCO) de ce grand rendez-vous, il a indiqué que la décision de tenir un grand meeting a été prise en Assemblée générale ordinaire (AGO), le samedi 8 février 2020. Ainsi, c’est autour du thème « 2020, année de reconquête du pouvoir d’État », que cette journée du 14 mars se déroulera.

À l’en croire, ce meeting se tient « en début d’une année charnière pour la survie de l’État ivoirien ». « En effet, on décidera soit de lutter pour vivre libres et égaux sous le régime des lois qui s’appliquent à tous de la même manière, soit on décidera par notre indolence et notre manque d’ardeur à la tâche, de s’abaisser et de s’aplatir devant la dictature parce que nous avons peur. 2020 est une année de choix ! Une année difficile pour nous parce qu’il faudra puiser au plus profond de nous-mêmes les ressources nécessaires, pour triompher malgré tout, et une année difficile aussi pour le régime parce qu’il leur sera difficile de tenir en laisse le peuple, après 10 ans de terreur et d’intimidations. Nous allons, de part et d’autre, souffrir mais de ces souffrances, s’ouvrira une page glorieuse pour la Côte d’Ivoire. Cette année est notre année ! Nous n’avons pas le choix ! La lutte s’impose à nous et la patrie, en danger, nous appelle à son secours », a-t-il déclaré, sous l’œil bienveillant de Lida Kouassi Moïse, 8e vice-président de ce parti, chargé du projet de société ; de Dahi Nestor, premier responsable de la jeunesse et de bien d’autres leaders.

« Nous sommes de fiers Ivoiriens et l’inaction ne peut être une option pour nous, dans un contexte si périlleux pour la nation ivoirienne qui est menacée dans ses fondements. La Côte d’Ivoire va mal et le régime travaille ardemment à ce que ça aille de plus en plus mal pour les Ivoiriens », a-t-il asséné.

Blaise Lasm a décrié, pour s’en convaincre, l’opération d’établissement des Cartes nationales d’identité (CNI). « Quel mépris ! Quelle condescendance de la part de ces gens qui, justement, ont pourtant guerroyé à cause de  ces cartes d’identité, et qui travaillent à empêcher le peuple d’en posséder. Pour une population cible estimée à 11 millions de personnes, seulement 118 centres sont prévus et cela fait pour chaque centre, 93 220 personnes à enrôler. Et si chaque enrôlement fait 15 minutes en moyenne comme on le constate, il nous faudra 3 ans, en travaillant 24h/24h et 7j/7, pour enrôler tous les Ivoiriens, alors que sous le président Laurent Gbagbo, 11 000 centres étaient mis en place sur toute l’étendue du territoire », a-t-il dénoncé. « A moins que des enrôlements aient été déjà faits en catimini, personne ne comprend cette méchanceté du régime », a-t-il soutenu.

Remettre le pouvoir à Gbagbo

Blaise Lasm a dépeint un sombre tableau de la situation sociopolitique et économique en Côte d’Ivoire. Pour lui, « le peuple ploie sous le poids d’une dictature rampante du régime ».

Avec linfodrome

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