Il n’y a rien de nouveau sous le soleil. C’est encore l’histoire d’une jeune fille enviée par ses cousines, après avoir rencontré l’homme de sa vie. Même, la sœur aînée de son père, la mère desdites cousines ne l’adresse plus la parole or elles vivaient tous sous le même toit.

Yanne est une jeune fille de 23 ans qui vivait avec la sœur aînée de son père qui a cinq filles et deux garçons. Toute allait bien jusqu’au jour où elle raconte a ses cousines qu’elle a rencontré Joël, l’homme sa vie.

Ci-dessous, histoire de Yanne

« Bonjour « Amour Afrique », Je suis une jeune femme de 23 ans, je m’appelle Yanne. Après la mort de mes parents, je suis allé vivre chez la sœur aînée de mon père qui a cinq filles et deux garçons. Mes cousines sont toutes plus âgées que moi et aucune d’elles n’est mariée. Elles travaillent et sont financièrement stables. Il y a deux ans j’ai rencontré Joël et nous sommes très amoureux. En ce moment il veut à tout prix m’épouser. Il a déjà tout réuni et m’a fait sa demande en mariage (j’ai dit oui). J’en ai parlé à mes cousines et depuis nos relations sont devenus toxiques. Leur mère ne m’adresse plus la parole, j’ai tout le temps la sensation d’être en insécurité. Que faire ? ».

Une fois le témoignage laissé sur la page Facebook Amour Afrique, un internaute prénommé Jean a immédiatement écrire en commentaire qu’il serait mieux que Yanne se concerte avec Joël pour pallier à ce problème si non il y aura une crise de jalousie dans cette famille. Et Filscher d’ajouter : « L’affection ne s’efforce pas. Éloigne-toi d’elles sinon, c’est toi qui subiras le pire. Prends garde à tous tes faits et gestes car une femme jalouse est capable de tout ».

« Ta tante et tes cousines sont justes jalouses de toi, ne leur donne pas l’occasion de gâcher ta vie. Vas voir les autres membres de ta famille, même ceux de ta famille maternelle afin de procéder à ton mariage le plus vite possible. Ta vie ne dépend pas de quelqu’un d’autre, c’est à toi seule la clé, tu as la chance et saisie-la sinon tu le regretteras », a écrit de son côté Daniel-Ange Kitenge.

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