Hajia4Reall, la célèbre mondaine ghanéenne, reste derrière les barreaux aux États-Unis après s’être vu refuser la mise en liberté sous caution par le ministère américain de la Justice. Cette décision ajoute une nouvelle incertitude à la situation de la mondaine, qui fait déjà face à des contestations judiciaires dans le pays.

Les preuves s’accumulent : Hajia4Reall risque une peine de prison de quatre à sept ans

Selon les documents judiciaires présentés par le procureur Damian Williams du district sud de New York, la jeune damme aurait enfreint les normes de libération sous caution établies par les États-Unis. Elle avait demandé au tribunal d’assouplir ses conditions de mise en liberté sous caution afin de retourner à New York et de se déplacer dans certaines parties de sa communauté tout en étant assignée à résidence.

Cependant, le tribunal a rejeté sa demande, soulignant qu’il envisagerait de l’accepter uniquement si elle avait des liens familiaux aux États-Unis.

De plus, le tribunal a souligné le poids des preuves contre Hajia4Reall, affirmant que sa libération sous caution représenterait un risque en vertu de l’article 3142-G du système judiciaire américain, car il y avait une possibilité qu’elle puisse s’enfuir.

Hajia4Reall dans de beaux draps

L’avocat Damian Williams a également mentionné que la mondaine ghanéenne pourrait être condamnée à une peine de quatre à sept ans de prison en raison de son implication présumée dans une escroquerie amoureuse de 2 millions de dollars.

Ces développements juridiques ajoutent une incertitude supplémentaire à la situation de Hajia4Reall, qui espérait pouvoir rentrer au Ghana prochainement, comme elle l’avait annoncé à ses fans sur Instagram Live. Cependant, le ministère américain de la Justice a mis son veto à sa libération sous caution, prolongeant ainsi son séjour en prison.