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Adieu vieux frère Ndéné !



HOMMAGE

Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c’est la présence des absents, dans la mémoire des vivants. Vieux frère, par ta disparition tragique et brutale, ton absence de la rédaction de WalfQuotidien va nous marquer et creuser un profond trou. Tes plaisanteries taquines vont nous manquer. Ta disponibilité va nous manquer aussi. Idem de ton humilité et de ta serviabilité.

Tu as trompé tout ton monde en partant au moment où on ne craignait plus le pire, après le succès de ton opération, lundi dernier. Tu pars laissant derrière toi un vide énorme. Un vide qui ne peut être comblé. Vieux frère, tu fausses compagnie à ce groupe de jeunes journalistes complices et fiers que nous formions.

Ton absence, depuis vendredi dernier, après ton accident suivi de ton hospitalisation au service Neurochirurgie de l’hôpital Fann, s’est manifestée au niveau de la rédaction en créant un grand vide. Sans Ndéné Bitèye dans la rédaction, ce sera un coup dur. Parce que tu étais un rassembleur, un homme de paix, une personne serviable, plein de vie. Ibrahima Anne, actuel rédacteur en chef et Mbagnick Ngom, ancien rédacteur en chef adjoint de WalfQuotidien, ne me démentiront pas.

Serviable, tu étais. Au mois de ramadan, tu leur servais toujours leur «ndogo» avec beaucoup d’attention laissant de côté un égo qui pourrait être surdimensionné. Tu étais aussi serviable et disponible envers tes confrères. Disponible, tu l’étais aussi. Un bon reporter qui maitrisait son dada : la lutte.

Humble, tu l’étais aussi, parce qu’à chaque fois, tu soumettais ton texte aux membres de la rédaction, fussent-ils des stagiaires, pour une relecture.  Tu es un homme de bien, tu as vécu en bien et tu es parti dans un jour de bonté : vendredi. Dors en paix, vieux frère, dans le sommeil des justes, dans ta terre natale de Ndoffane. Paix à ton âme.

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