C’est le magazine panafricain Jeune Afrique qui partage l’information dans un article récemment mis en ligne dans sa version en ligne.
Dans son article, le médias français révèle l’existence d’une crise au sein du MRC. D’après notre confrère, des barons du régime de Paul Biya profitent actuellement de cette crise pour faire exploser le parti de Maurice Kamto en lui volant quelques un de ses cadres.
‘Plusieurs cadres du Mouvement pour la renaissance du Cameroun n’ont pas digéré que leur président décide de ne pas participer aux élections législatives et municipales du 9 février dernier. Qui sont ces frondeurs ?
Ils ne sont pas encore en rupture, mais leurs voix se sont élevées pour exprimer leur dépit. La vice-présidente du directoire des femmes du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), l’avocate Michelle Ndoki, souhaitait briguer la députation dans sa ville natale de Douala, mais elle a dû renoncer à son ambition. Elle n’a pas encore démissionné, mais elle a pris ses distances avec ses amis politiques. Elle s’est même rapprochée du pouvoir par l’entremise du ministre du Travail, Grégoire Owona, qui est aussi le numéro deux du parti présidentiel, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC)’, écrit Jeune Afrique.
Source : Camerounweb.com
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CRISE AU MRC: COMMENT GRÉGOIRE OWONA ESSAYE DE RALLIER MICHELLE NDOKI AU CAMPS DE BIYA
C’est le magazine panafricain Jeune Afrique qui partage l’information dans un article récemment mis en ligne dans sa version en ligne.
Dans son article, le médias français révèle l’existence d’une crise au sein du MRC. D’après notre confrère, des barons du régime de Paul Biya profitent actuellement de cette crise pour faire exploser le parti de Maurice Kamto en lui volant quelques un de ses cadres.
Lire aussi:
‘Plusieurs cadres du Mouvement pour la renaissance du Cameroun n’ont pas digéré que leur président décide de ne pas participer aux élections législatives et municipales du 9 février dernier. Qui sont ces frondeurs ?
Ils ne sont pas encore en rupture, mais leurs voix se sont élevées pour exprimer leur dépit. La vice-présidente du directoire des femmes du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC), l’avocate Michelle Ndoki, souhaitait briguer la députation dans sa ville natale de Douala, mais elle a dû renoncer à son ambition. Elle n’a pas encore démissionné, mais elle a pris ses distances avec ses amis politiques. Elle s’est même rapprochée du pouvoir par l’entremise du ministre du Travail, Grégoire Owona, qui est aussi le numéro deux du parti présidentiel, le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC)’, écrit Jeune Afrique.
Source : Camerounweb.com
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