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La délégation de la Cédéao-Union africaine-ONU ne peut pas être accueillie, annoncent les putschistes.

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Les putschistes déclarent leur incapacité à accueillir une délégation de la CEDEAO, l’Union africaine et l’ONU

Les putschistes qui ont récemment renversé le gouvernement en place ont annoncé qu’ils ne seraient pas en mesure d’accueillir une délégation composée de représentants de la CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest), de l’Union africaine et de l’ONU.

Après avoir pris le contrôle du pouvoir par la force, les putschistes ont fait part de leur refus d’accueillir une délégation envoyée par ces organisations internationales afin de discuter de la situation politique et sécuritaire du pays.

Les dirigeants de la junte ont affirmé qu’ils étaient déterminés à maintenir un processus de transition au niveau national sans aucune interférence extérieure. Ils ont souligné leur intention de restaurer l’ordre constitutionnel dans le pays et de rétablir un gouvernement démocratique, mais ont insisté sur le fait que cela devait être la responsabilité des acteurs internes.

Selon les informations, la CEDEAO, l’Union africaine et l’ONU avaient prévu d’envoyer une délégation pour discuter avec les putschistes et les inciter à rétablir rapidement un gouvernement démocratique légitime. Cependant, les putschistes ont déclaré qu’ils n’accueilleraient pas cette délégation et ont demandé aux organisations internationales de respecter leur position.

La situation politique et sécuritaire du pays reste préoccupante depuis le coup d’État. Les citoyens ont été témoins d’une augmentation des violences et de l’insécurité, tandis que les partenaires internationaux expriment leur inquiétude quant à l’instabilité politique dans la région.

Il est désormais crucial de trouver une solution pacifique et durable à la crise politique en cours. Les putschistes devront être persuadés de l’importance de la médiation internationale et d’une transition démocratique, afin de garantir la stabilité et la paix dans le pays. La CEDEAO, l’Union africaine et l’ONU continueront probablement à exercer des pressions diplomatiques sur les putschistes pour les amener à accepter la médiation internationale et à entreprendre des démarches concrètes pour rétablir un gouvernement démocratique.

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