Guillaume Soro a exprimé sa colère à l’égard de la communauté internationale. Selon lui, les institutions internationales « ont tort » de soutenir ce troisième mandat d’Alassane Ouattara. Pour l’ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne, ce mandat viole la constitution ivoirienne.
« En effet, la constitution du 8 Nov 2016 en son article 55 limite strictement les mandats à 2. Ceux de la communauté internationale qui refusent d’y voir le viol de la constitution ont tort », a tweeté Guillaume Soro. Il a exprimé son désarroi dans un message de son parti GPS (Générations et peuples solidaires).
Il s’en est sévèrement pris à la communauté internationale <span id= »21″ class= »s-or-t »>condamnant leur silence face au dilemme en Côte d’Ivoire. Cette attitude d’indifférence a suscité la colère de Guillaume Soro. « Pudiquement réfugiés derrière la notion de non-ingérence les jours pairs, ils font les volubiles les jours impairs », a martelé l’ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne.
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Le leader du parti GPS a expliqué dans son message que cette lutte contre le mandat d’Alassane Ouattara est pour la démocratie en Côte d’Ivoire. Selon lui, c’est la jeunesse ivoirienne qui mène ce combat. « Et c’est elle que M. Ouattara n’hésite pas à massacrer », a-t-il ajouté. Pour lui, aucun dialogue n’aboutirait « tant que cette vérité n’est pas reconnue ».
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Toutefois, il semblerait que la relation entre le régime au pouvoir et l’opposition veuille évoluer. La rencontre entre le président Alassane Ouattara et le Chef de file de l’opposition Henri Konan <span id= »29″>Bédié, annonce une probable issue favorable à cette crise sociopolitique.