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Elle jouit jusqu’à onze fois par jour, les raisons



Atteinte d’un syndrome d’excitation, elle jouit jusqu’à onze fois par jour. Une Britannique de 51 ans souffre d’un syndrome d’excitation génitale persistante. À cause de celui-ci, son quotidien n’est pas facile à vivre, puisqu’un nombre conséquent de choses peuvent lui donner un orgasme.

 

Lorna Harrison souffre depuis deux ans d’un trouble méconnu, le syndrome d’excitation génitale persistante. À 51 ans, cette Britannique peut jouir jusqu’à onze fois par jour, ce qui est particulièrement gênant au quotidien. Pour cette tenancière de cafétéria, le syndrome est parfois tellement handicapant qu’elle est contrainte de rester à la maison.

 

« Ça a l’air d’être bien mais c’est très inconfortable, fatiguant. Ça peut arriver n’importe où, n’importe quand », raconte Lorna. Celle-ci a réalisé qu’elle avait un réel problème en janvier 2019, lorsqu’un orgasme s’est déclenché à cause d’un casse-vitesse. « J’ai eu une sensation de martèlement et de gonflement en bas. J’ai eu de la chance de ne pas avoir fait d’accident parce que je n’avais plus le contrôle de mon corps », raconte-t-elle au journal « The Sun ».

 

Un quotidien chamboulé

 

Elle explique également qu’un jour, la seule mention de son copain l’a lancée, ou encore que cela lui est arrivé en plein milieu d’un supermarché. « Les gens me regardaient bizarrement », précise-t-elle. La Britannique a fini par consulter son gynécologue quelques mois plus tard, en juillet, tandis que les orgasmes se faisaient de plus en plus fréquents. Celui-ci lui a donné un traitement pour l’épilepsie afin de réduire la longueur des épisodes.

 

Ce trouble a forcément aussi un impact sur la relation qu’elle entretient avec son compagnon, Henry Snowden. « Mon copain trouvait ça drôle au départ mais maintenant on ne peut plus s’embrasser passionnément parce que ça me lance directement. On arrive quand même à coucher ensemble, ce qui est un soulagement vu que le reste du temps c’est une véritable torture », témoigne Lorna, avant de conclure : « D’un côté, je souffre réellement de ce trouble. Et de l’autre, quand j’ai un orgasme très intense, je veux le garder! ».

 

Source metro

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