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Ashish Kumar Pandey, un homme froid qui assasina sa femme sans arrière pensée.



 

On rencontre parfois et cela paraît bien étrange des personnes vides d’émotions et insensible à quelconque action. Ceux sont justement ceux là même qui tuent sans aucun scrupule et  sans geine. C’est le cas de Ashish Kumar Pandey, un homme d’affaires d’Hyderabad accusé d’avoir tué sa femme. Que s’est-il réellement passé ? Peut-on lui concédé une raison aussi infirme soit-elle ou est ce juste un fichu psychopathe ? Quels sont les effets à court terme et les impact à long terme de cet acte ignoble ?

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Comment a débuté cette histoire de romance ?

Mohnani et Cynthia se sont rencontrées au Congo, où elle travaillait comme danseuse de club. Ils se sont mariés en 2008 et ont déménagé à Hyderabad. Le couple a également eu une fille ensemble.

L’assassinat de Cynthia Vechelcame par son mari

Dans le même ordre d’idée que celui du meurtre de Naina Sahni en 1995, un homme à Hyderabad a tué sa femme. Celui-ci l’aurait pas tout juste tué mais aussi, coupé son cadavre en morceaux et brûlé les parties du corps dans le but de détruire les preuves, selon la police. En effet, suite à une altercation avec son épouse, l’homme d’affaires Ashish Kumar Pandey; d’après les dires, aurait coupé son corps et brûlé dans une valise parce qu’elle a essayé de le laisser pour un amoureux français.

Malgré ses 36 ans, Ashish Kumar Pandey est toujours aussi puéril. Ainsi il soupçonnait sa femme Cynthia Vechelcame d’infidélité, selon les enquêteurs. La police a déclaré que le couple se querellerait à propos de ses discussions sur Facebook avec un ami masculin.

Dimanche, il a étranglé Cynthia après une dispute et a démembré son cadavre avec un couteau, une hache et un marteau perforateur, a annoncé la police.

 

Comment cela se serait il passé et comment l’a t’on découvert ?

La police pense que l’homme d’affaires a tué sa femme après avoir tenté de le quitter et d’emmener leur fille âgée de cinq ans. Il aurait ensuite conduit jusqu’à un village avec les parties du corps fourrées dans un sac, où il les aurait brûlées. Apparemment, Cynthia avait rencontré et serait tombée amoureuse d’un Français sur Facebook et envisageait de l’épouser. Une demande de mariage avait été envoyée en ligne et Cynthia devait signer le document lundi. Lorsqu’elle a demandé le divorce de son mari, une violente querelle a éclaté. Cynthia a insisté pour partir et a voulu emmener leur fille de cinq ans avec elle. Dans un accès de rage, Mohnani l’aurait étranglée à mort. On pense que pour se débarrasser du corps, il l’a coupé en morceaux et les a rangés dans une valise. Il s’est ensuite rendu au village de Madanapalli près de Shamshabad, où il a mis le feu à la valise.

Des questions ont surgi lorsque les habitants ont vu des taches de sang sur la voiture de l’homme de 36 ans.Le véhicule de Mohnani était resté coincé dans la boue alors qu’il rentrait chez lui, et des jeunes de la région venus aider ont remarqué le sang. Suspects, ils l’ont maintenu à terre et ont alerté la police. Des enquêtes préliminaires ont conduit la police à la valise en feu à quelques mètres de l’endroit où Mohnani a été capturé, découvrant le meurtre horrible. Mohanani a été officiellement arrêté mardi et une affaire a été enregistrée en vertu de l’article 302 du code pénal indien. Sa fille a été envoyée chez ses parents.

Le meurtre de Cynthia a ravivé les souvenirs du meurtre horrible de Naina Sahni en 1995. Son mari Sushil Sharma, un dirigeant du Congrès de la jeunesse, l’a abattue dans leur appartement, a coupé son corps et l’a brûlé dans le four d’un restaurant de Delhi. Sharma a été arrêtée quelques jours plus tard.

Quels sont les effets à court terme et les impact à long terme de cet acte ignoble ?

Cet acte n’impliquant qu’au début, un homme et sa femme se voit devenir un problème susceptible de créer la troisième guerre mondiale. Opposant deux continents notamment l’Afrique et l’Asie, les effets vont commencer à se faire ressentir. Les Congolais en veulent de toutes leurs forces aux  Indiens et veulent venger les congolais assassiné par les Indiens. Se justifiant par la triste nouvelle perçu du meurtre de la jeune congolaise Cynthia Vechelmane par son époux; comme une réponse du berger à la bergère, les réactions du côté de Kinshasa n’ont pas mis du temps.

Après que la nouvelle se soit répandue comme une traînée de poudre via les réseaux sociaux, des assaillants s’en sont pris à plusieurs boutiques appartenant aux ressortissants indiens à Kinshasa.

« Depuis mercredi 7 Juillet , les Indiens ne sortent pas », explique Blanchard Mwadi, un employé dans un magasin indien. Le ressentiment populaire contre les Indiens semble servir de bouc émissaire à un désenchantement qui ne demande qu’à s’exprimer. Je cite encore :« A Béni, on tue les Congolais, en Inde on nous tue… Nous voulons que notre gouvernement nous protège. Trop, c’est trop ! », lâche M. Mwadi, qui glisse sans qu’on ne lui demande sur la situation dans l’est de la République démocratique du Congo, dans la région de Béni, ou plus de 600 civils ont péri dans une série incessante de massacres depuis octobre 2014.

 

Toutefois, une vingtaine d’agents de forces de l’ordre a été déployé dans le quartier de  Ngaba, un des quartiers les plus déshérités du sud de la capitale congolaise. Plus tôt, tous les magasins de la place tenus par des commerçants indiens avaient fermé leurs portes après l’attaque de plusieurs groupes de jeunes. Les uns rappellent , qu’en fin mai,  trois indiens avaient tué un jeune professeur congolais à New Delhi, ce qui  avait surchauffé les esprits à Kinshasa, mégapole de 10 millions d’habitants. Les autorités avaient dû exhorter la population à ne pas se faire justice elle-même en s’en prenant aux Indiens, qui tiennent une bonne part de la distribution kinoise : électroménager, habillement, cosmétique, notamment.

 

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