De nombreuses sources ont révélé que le président ivoirien, Alassane Ouattara n’était pas du tout content en apprenant la nouvelle d’IBK. Le fait que le président démocratiquement élu par les Maliens soit renversé par les militaires l’énerve tout simplement.

D’où son idée de faire rétablir l’ordre constitutionnelle avec un retour aux affaires d’IBK. C’est dans ce sillon que des sanctions ont été annoncées contre le Mali avant que l’eau ne soit mise dans le vin. Autrement dit, les chefs d’Etat de la CEDEAO ont dit qu’il vaut mieux aller pas à pas en privilégiant plus la voie du dialogue. Une délégation est d’ailleurs au Mali et échangera avec les putschistes ce 22 août 2020.

Les sanctions ne seront donc plus appliquées comme prévues. En tout état de cause, cette situation ne fera qu’accroitre la précarité des innocents maliens, la population.

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ADO préparerait donc sa revanche…

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