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LE FBI ÉPINGLE UN ARNAQUEUR QUI AURAIT ESCROQUÉ SES VICTIMES DE PLUSIEURS MILLIONS DE DOLLARS



Arrêté le mois dernier aux Émirats arabes unis, Ramon Olorunwa Abbas —connu en ligne sous le nom de Ray Hushpuppi, a été transféré aux États-Unis afin de comparaître devant un tribunal fédéral à Chicago lundi.

D’origine nigériane, Hushpuppi était détenteur d’un compte Instagram (encore en ligne à l’heure où nous écrivons ces lignes) rassemblant plus de 2,5 millions d’abonnées. Sur le réseau social, il exhibait des signes de richesse comme des voitures, des montres de luxe ou des voyages en jet privé. Sauf que cet argent aurait été blanchi à la suite d’arnaques en ligne.

Plus de 1,7 milliard de dollars volés

La principale victime serait un cabinet d’avocat de New York. Dans un document du FBI, il est indiqué que Hushpuppi aurait contribué à arnaquer ce dernier alors qu’il tentait de faire un virement de plus de 900 000 dollars. Les escrocs ont mené l’assistant juridique à envoyer des emails à une fausse adresse avant d’envoyer les instructions de virement par fax. Lorsque le cabinet a demandé la confirmation pour virer l’argent par téléphone, ce sont les escrocs qui ont répondu. Quand l’arnaque a été repérée, il était trop tard pour récupérer l’argent.

Hushpuppi aurait aussi participé à une intrusion informatique menant au transfert frauduleux de plus de 14,7 millions de dollars.

Toutefois, ce n’est pas l’accusé lui-même qui aurait attaqué directement ces entreprises, mais il aurait été en charge de trouver des comptes bancaires capables d’accueillir les millions de dollars volés sans tiquer. Il aurait ensuite communiqué ces derniers à ses complices, indique le FBI en faisant état de conversations trouvées dans l’iPhone d’un associé arrêté en octobre dernier. En somme, il aurait plutôt été l’un des dirigeants de ces arnaques via des systèmes de compromission de courriels d’affaires (BEC).

Le procureur américain Nick Hanna a indiqué dans une déclaration : « Cette affaire vise un acteur clé d’une vaste conspiration transnationale qui menait une vie opulente dans un autre pays tout en offrant prétendument des refuges pour l’argent volé dans le monde entier. Comme le montre cette affaire, mon département continuera à tenir ces criminels pour responsables, quel que soit leur lieu de résidence ».

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