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Le Kenya n’enverra pas de policiers en Haïti tant que l’ONU ne sortira pas son chéquier



Le gouvernement du Kenya a déclaré qu’il ne déploierait pas ses policiers en Haïti tant que toutes les conditions de formation et de financement ne seraient pas remplies.

Le mois dernier, le Conseil de sécurité de l’ONU a donné son feu vert pour que le Kenya commande une mission multinationale visant à lutter contre les gangs violents dans ce pays en difficulté des Caraïbes.

Le ministre de l’Intérieur, Kithure Kindiki, a dit à la Commission départementale de l’administration et de la sécurité intérieure du Parlement que « si toutes les ressources ne sont pas mobilisées et mises à profit, nos troupes ne quitteront pas le pays ».

Il a déclaré que les États membres de l’ONU s’assurent des ressources et ont identifié comment les fonds seront mobilisés et mis à la disposition du Kenya pour la mission. Pendant ce temps, Haïti fait état d’une nouvelle série de meurtres et d’enlèvements liés aux gangs, alors qu’il attend de l’aide.

Mercredi, la Cour supérieure des comptes et du contentieux administratif d’Haïti a affirmé que cinq de ses employés avaient été kidnappés dans la capitale, Port-au-Prince, obligeant l’agence à reporter temporairement toutes les audiences.

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Cette semaine également, l’Organisation internationale pour les migrations de l’ONU a estimé que près de 2 500 personnes dans la ville côtière de Mariani, située à l’ouest de la capitale, ont été déplacées par la violence alors que des gangs s’infiltraient dans des communautés auparavant pacifiques.

Près de 200 000 Haïtiens ont perdu leurs maisons à cause des gangs qui pillent les quartiers exploités par leurs rivaux dans leur quête pour contrôler davantage de territoire. 

Selon l’agence des Nations Unies pour l’enfance, près de cinq millions d’Haïtiens souffrent de la faim, en partie à cause de la violence des gangs.

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