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« La rébellion ivoirienne dans son ensemble n’a jamais commis de crimes de guerre », Said Penda



Pour avoir mené des investigations sur la crise en Côte d’Ivoire, Said Penda affirme, que « la rébellion n’a jamais commis de crimes contre l’Humanité.

Depuis le déclenchement des poursuites contre le criminel de guerre Gbagbo à la CPI, ses partisans et même des personnes de bonne foi, ne cessent de dénoncer une « justice sélective », au motif que la Cour Pénale Internationale ne poursuit que dans le camp Gbagbo.

Il faut préciser à ceux qui se prononcent un peu trop vite sur ce sujet que la CPI n’est pas en train de juger des Ivoiriens pour avoir fait la guerre, ce qui l’obligerait, dans ce cas, à juger inévitablement les deux parties. La guerre en elle-même n’est pas un crime, mais elle obéit à des règles qui ont été définies par l’ensemble des Nations, comme la protection des prisonniers de guerre, le respect de la vie des civils à laquelle on ne doit jamais attenter, etc.

Pour avoir mené des investigations sur la guerre civile en Côte d’Ivoire, je puis affirmer, sur la base des faits, que la rébellion ivoirienne dans son ensemble n’a jamais commis de crimes de guerre, encore moins de crimes contre l’Humanité contre l’ennemi.

Le seul crime de guerre enregistré dans le camp de la rébellion a constaté lorsque a éclaté, au sein des Forces Nouvelles, des dissensions entre Soro et le sergent-chef IB. Soro prend vite le dessus et ordonne l’enfermement dans un conteneur exposé au soleil de plus d’une centaine de combattants favorables au sergent IB.

Tous connaîtront une mort atroce, par suffocation et insolation dans ce conteneur exposé au soleil, hermétiquement fermé, où la température est montée jusqu’à plus de 100%. Cela relève d’un crime de guerre, puisque la vie des prisonniers de guerre doit être préservée.

Les faits se sont déroulés à korhogo, la grande ville du septentrion ivoirien. Restons dans la vérité des faits, même quand elle ne nous rendrait pas populaire ou qu’elle ne nous attirerait que tracasserie.

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