Les enseignants constituent le panel le plus important dans une société et plus particulièrement dans la vie de tout être humain. L’enseignant est le noyau autour duquel gravite tout un monde. Ils sont le vecteur d’information de générations en générations. C’est pour cette raison que les élèves qui étudient dans leurs classes sont sous leur responsabilité.

Ainsi, pour tout élève se trouvant dans une situation délicate ou difficile à cause d’un acte posé à l’école, la première responsable serait l’enseignant avant l’administration de l’établissement. Une enseignante qui aurait fait manger à un élève ses propres excréments risque de faire la prison d’après les faits.
En effet, cette enseignante fait manger à un de ses élèves ses propres excréments révèle le journal britannique The Sun et 12 News. C’est aux États-Unis, plus précisément à Jasper dans l’état du Texas que Mamie Robson Aplon, une femme de 67 ans, enseignante à l’école primaire Few a infligé cette atrocité à un élève de la maternelle. Il faut dire que les accusations pesant contre elle sont très graves et non seulement elle pourrait être amendée mais aussi et surtout, elle risque au moins un an de prison ferme.

Arrêtée en début de mois de novembre, elle fait face à des poursuites judiciaires de la part de la famille du garçon répondant au nom de EJ. Les accusations révèlent que l’enseignante Mamie Robson aurait forcé le petit garçon à manger ses excréments. Elle a donc été suspendue par le directeur de l’établissement après avoir appris la nouvelle. Car pour le directeur de l’école, sa priorité reste « la sécurité et le bien être des élèves de Jasper ».

Jusqu’ici, le jury n’a décidé que de l’amende de la dame qui s’élève à 10 000 dollars ou 9114 euros. L’on constate dans la suite des accusations que les collègues de l’enseignante en question tiennent des propos contraires à l’attitude de l’enseignante. Pour certains, c’est une enseignante exemplaire qui incarne l’amour d’une mère. Pour d’autres encore, celle-ci aurait eu pour projet d’aider les élèves les plus défavorisés, et quand ils avaient faim, ils n’avaient qu’à l’appeler pour qu’elle leur offre à manger. Bref, les enquêtes se poursuivent par la police et nous y reviendrons pour la suite des faits.