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La journaliste Hélène Doubidji dénonce la culture de la médiocrité sur les réseaux sociaux



La journaliste Hélène Doubidji dénonce la culture de la médiocrité sur les réseaux sociaux. S’ils apportent de nombreux avantages, les réseaux sociaux, comme Internet, sont capables du meilleur comme du pire. Dans un message posté sur son mur Facebook, la journaliste Hélène Doubidji dénonce la culture de la médiocrité sur la toile.

Les médias sociaux sont partout et si nous en bénéficions à plusieurs niveaux, nous en subissons aussi les conséquences. Outres les avantages, ces derniers ont  des inconvénients sur le  quotidien de ceux qui s’y donnent à fond. Ceux qui y retournent chaque jour, irrémédiablement, comme si c’était la première fois.

Dans son message, la brave journaliste a souligné beaucoup de points. Elle n’a pas oublié de mettre l’accent sur comment les jeunes talentueux avec de vrais projets sont ignoré et abandonné. Selon la journaliste togolaise, on semble accorder d’importance à celles qui passent leur temps à montrer leurs nichons et fesses et à ceux qui veulent à tout prix faire du buzz. A des jeunes gens qui pensent que la vie c’est les réseaux sociaux et le nombre de followers.

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« Sur les réseaux sociaux, il y a énormément de jeunes talentueux avec de vrais projets mais la contemplation du vide me sidère d’avantage…. Ils sont nombreux ces jeunes qui bossent sur du bon contenu mais personne ne les regarde. On semble accorder plutôt d’importance à celles qui passent leur temps à montrer leurs nichons et fesses et à ceux qui veulent à tout prix faire du buzz, trop vite sans réfléchir par deux fois. Et sinon leur mérite ? Aucun », a-t-elle écrit dans un premier temps.

Elle poursuit : « Désolée, mais je suis contre ce système qui privilégie la facilité de l’apparence à la complexité de la substance. Effectivement de nos jours, comment éduquer nos enfants ? La culture du néant et l’art du vide ont tellement pris le dessus. Tu vois une petite fille de 14 ans qui pense que la vie c’est les réseaux sociaux et le nombre de followers… Des filles qui grandissent avec l’illusion de la réussite par la beauté et l’image, elles n’ont pas le temps de réfléchir.  L’entonnoir des réseaux sociaux les a avalées ».

Pour conclure, elle conseille : « Cessons de donner du poids à cette culture de l’inutilité. Arrêtons de faire la promotion du vide et du danger ».

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