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« La France doit payer cash les dettes de 65 ans » (vidéo)



Les pays de l’Alliance des États du Sahel (AES) font entendre leur voix pour réclamer la justice financière qu’ils estiment être due depuis des décennies. Le président nigérien, Tiani, a récemment déclaré que la France devrait répondre de plus d’un siècle de spoliation de leurs ressources. Dans des déclarations rapportées par l’Agence de Presse du Burkina, il affirme que la France doit payer les dettes résultant de 65 ans de pillages systématiques et qu’un échéancier sera établi pour mettre fin à cette situation préjudiciable depuis 42 ans.

Le chef d’État a également évoqué la possibilité de créer une monnaie commune au sein de l’Alliance des États du Sahel. Tiani a souligné que la question de la monnaie est cruciale, car elle est le symbole de la souveraineté. Il a expliqué que les États membres de l’Alliance auraient dû quitter la CEDEAO, devenue obsolète depuis 1990, mais la majorité reste affiliée à cette communauté.

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Dans une démarche claire vers la souveraineté totale, le président nigérien insiste sur la nécessité de dévoiler l’histoire récente des États africains. Il appelle à l’examen et à l’évaluation minutieuse des dossiers, mettant en lumière l’importance de décider dans l’intérêt des peuples africains.

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Le président Tiani affirme que la monnaie commune est une étape cruciale pour se libérer de la colonisation financière. Il exprime sa confiance dans les experts des États membres de l’AES et affirme que, lorsque le moment sera propice, des décisions cruciales seront prises.

Cette démarche s’inscrit dans un mouvement plus large visant à mettre fin à la dépendance économique de l’Afrique envers d’autres nations, et à récupérer une souveraineté totale sur les questions financières, en particulier en ce qui concerne les monnaies. Les déclarations de Tiani reflètent une détermination croissante des États africains à ne plus être la « vache à lait » de nations étrangères

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