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Kaaris : « Je n’ai pas connu mon père »



La vie du rappeur français d’origine ivoirienne Kaaris, n’est plus un mystère pour les Ivoiriens. Celui qui se fait appeler Zongo le Dozo, dans l’émission WAM (Willy à Midi) ce week-end, a déballé une grande partie de sa vie. L’artiste a fait savoir qu’il n’a pas eu une enfance facile, car il a grandi sans son père. C’est son grand frère qui a toujours porté cette casquette paternelle.

Originaire du peuple DidaKaaris est un artiste qui n’oublie pas d’où il vient. Dans l’émission de Week-end sur la chaîne ivoirienne Life TV, Zongo le Dozo a retracé tout son parcours mettant l’accent sur son enfance difficile en raison de l’absence d’un père. S’il peut prétendre aujourd’hui avoir la possibilité de se procurer des biens les plus chers, le rappeur n’a pas cette aisance lorsqu’il était tout petit en Côte d’Ivoire.

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Kaaris n’a pas eu une enfance semblable à celle que l’on retrouve dans un conte de fée. L’histoire de cet artiste a commencé avec beaucoup de difficultés avant d’atteindre le succès aujourd’hui. Il a confié qu’il n’a pas connu son père qui s’était déjà allé quand lui venait au monde. Le rappeur a grandi dans une fratrie de 08 enfants qui étaient tous sous la coupole de sa grand-mère au village.

Pendant que sa mère était en France entrain de travailler dur comme servante pour trouver de l’argent afin qu’ils puissent la rejoindre, c’est son grand frère qui jouait le rôle de papa. Gnakouri Armand Okou, de son vrai nom, Kaaris a finalement réussi à entrer dans l’hexagone. S’il a pu tenir pendant cette période difficile de sa vie, c’est en majeure partie grâce à son grand frère. C’est pourquoi il regrette d’avoir levé la main sur lui autrefois. 

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« Mon plus grand regret est d’avoir une fois levé le ton sur mon grand frère, qui après le décès de mon père s’est constitué en père de substitution pour moi », a déclaré le rappeur français qui se définit avec « passion, intelligence et observation ». Kaaris, qui compte s’installer définitivement en Côte d’Ivoire précisément sur l’île Boulet ou à Bassam, a également donné un précieux conseil à sa fille qui est sa plus grande fierté.

« Ma plus grande fierté, malgré mon succès, c’est ma fille et rien d’autre. Le conseil que je lui donnerai par rapport aux hommes est qu’elle fasse très attention aux hommes. Il y en a qui sont des chenapans, des adeptes du « mougoupan » », a lâché Kaaris.

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