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« J’ai voulu leur dire que j’ai le VIH, mais ils m’ont violé »



A Kiberi, le plus grand bidonville de Nairobi, réside une commerçante au nom de Jane. En effet, cette dernière a été récemment violée par cinq hommes, toujours pour l’heure inconnus.

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Jane est une jeune femme ayant connu presque toutes les couleurs de la vie. Elle s’est séparée 9 ans plutôt avec son mari qui l’avait privé d’accès, elle et leurs enfants, à la maison conjugale. C’était au moment où elle avait été dépistée positive au VIH.


« Il était environ 19 heures. Les violences avaient déjà éclaté et mes voisins avaient fui, mais j’étais faible et je n’avais nulle part où aller, donc je me suis dit que si je m’enfermais chez moi et que je ne faisais pas de bruit, les gens penseraient que la maison était vide. Les hommes sont arrivés et j’ai entendu l’un d’entre eux dire : je pense qu’il y a quelqu’un dans cette maison. Ils ont défoncé la porte et ils sont entrés. Quand j’ai vu qu’ils allaient me violer, je leur ai dit que j’étais séropositive », révèle la victime.


La jeune femme les aurait prévenu mais les les malfaiteurs étaient très attachés à leur intention pour croire ce qu’elle avance. « Ils ne m’ont pas crue. Ils ont dit que j’avais l’air en trop bonne santé. Je leur ai même montré mes ARV (antirétroviraux) mais ils m’ont violée quand même. Ils étaient cinq », a-t-elle continué.



« Ils m’ont violé devant mes deux plus jeunes enfants, âgés de trois et sept ans. Les enfants criaient pendant que ça se passait. Mes aînés, âgés de 14 et 16 ans, étaient chez ma sœur à Kayole (un autre quartier pauvre de Nairobi), donc eux au moins n’ont pas vu cela. Après, mes plus jeunes enfants n’arrêtaient pas de demander ce qui s’était passé, mais je leur ai simplement dit d’oublier, que j’allais bien », a-t-elle poursuivi.

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« J’en voulais beaucoup aux hommes qui m’ont violée – ils ont voulu me montrer qu’ils étaient des durs, et maintenant ils sont peut-être séropositifs. J’étais aussi en colère contre la police. Maintenant, j’ai appris à tous les oublier, mais parfois, quand je suis seule, mon esprit est toujours torturé », a-t-elle conclu.

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