Les filles de joie traversent un moment fort ces derniers temps à cause de la pandémie à coronavirus. Elles ont saisi le gouvernement à travers leur syndicat.

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Le syndicat, celui porte haut leur voix dit avoir connaissance de la situation qu’elles font face.

ier, je faisais un post ici de la galère que vivent actuellement les prostituées de CI rassemblées joliment en un syndicat, et dont la responsable a jugé bon de m’exposer leurs soucis. D’aucuns ont pensé à un post de plaisanterie ou d’humour, mais que non, ce matin encore, elles sont dans ma case ».

Selon lui, ces Nanas ont des difficultés au point où il n’ont plus rien sous la dent. Alors qu’elle donnent beaucoup de plaisir aux gens.

« J »avoue qu’en des moments j’ai bénéficié de leurs délicates et envoûtantes mains, loin de regretter ces moments consolateurs, et beaucoup d’hommes ici qui ont bénéficié de ces mêmes traitements dont personne n’a jamais porté plainte seront de mèche avec moi ».

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Comme toute activité, a-t-il poursuivi, la leur est arrêtée ou du moins considérablement ralentie, et cela joue au niveau de leur recette qui avant Covid-19, était ce qu’est le pétrole pour le Koweït.

Mais selon lui, « avec ce virus mortel, même les clients les plus fidèles ont pris du recul, car leur travail demande un contact rapproché, mais les consignes gouvernementales aux gestes barrières leur posent un préjudice énorme ».

« C’est pour quoi, elles me demandent, en reconnaissance des bons moments dont j’ai été victime en leurs douces mains et je n’en ai aucun regret, de bien vouloir d’une part, porter leurs difficultés à votre connaissance, et d’autre part, que le gouvernement pense aussi à leur situation car aux heures décisives entre 02h et 03h du matin ça donne fort même », a-t-il conclu.

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