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Traité comme un malfrat au Sénégal, Kémi Séba solde ses comptes : « Macky Sall, l’un des plus grands serviteurs du néocolonialisme »

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Traité comme un malfrat au Sénégal, Kémi Séba solde ses comptes : « Macky Sall, l’un des plus grands serviteurs du néocolonialisme »

L’activiste Kémi Séba fraîchement expulsé du Sénégal n’a pas perdu du temps pour solder ses comptes. Il est revenu sur les circonstances de son arrestation et les violences que les policiers ont exercé sur lui. Il n’a pas également épargné l’élite sénégalaise. Regardez :
Né de parents français d’origine béninoise, Kémi Seba naît le 19 décembre 1981. De son vrai nom Stellio Gilles Robert Capochichi, Kémi Seba ou « l’étoile noire » est un polémiste panafricain. Chroniqueur
politique TV (2STV), écrivain, conférencier spécialiste du panafricanisme. Conseiller spécial du
Professeur et philosophe Grégoire Biyogo sur les questions relatives au Panafricanisme.
Etudiant en philosophie, disciple du Professeur Grégoire Biyogo (Historien de la philosophie, spécialiste de Derrida, de Rorty et de Cheikh Anta Diop). Grégoire Biyogo est professeur habilité à diriger des recherches et lauréat de la Sorbonne.

Auteur du livre « Ma’at Ikh-s Philosophie » (paru le 10 avril 2010)
Auteur du Livre Supra Negritude en 2013
Qualifié de FIGURE PRINCIPALE du radicalisme noir francophone par la journaliste ANNE SOPHIE LAPIX
sur CANAL + en NOVEMBRE 2008, diabolisé à outrance par les médias français (ENVOYE SPECIAL SUR
FRANCE 2, FRANCE 3 ou TF1).
Considéré comme une menace par le système SARKOZY (qui est allé jusqu’à l’emprisonner en février
2007), Kémi Séba est devenu en quelques années la figure incontournable du Panafricanisme
Révolutionnaire francophone.
Kémi Séba représente, pour beaucoup, l’avenir politico-culturel des noirs francophone, et au-delà, celui
de tous les anti-impérialistes qu’ils soient noirs, blancs, arabes ou autres. Né à Strasbourg, ayant grandi
aux quatre coins de la France, il débuta sa carrière activiste, lorsqu’à 18 ans, en autodidacte qu’il était, il
intégra l’antenne francophone d’un petit groupe d’étude de la « Nation de l’Islam » dirigé à l’époque par
le frère Karim D. Muhammad.
Pendant un an et demi, jours et nuits, qu’il vente, qu’il pleuve, ou qu’il neige Kémi Séba apprit les
mécanismes fondamentaux de la quête identitaire (connaissance de soi, histoire, rhétorique, etc…) en
conscientisant les siens sur le bitume et les bas-fonds du milieu parisien.
Puis, estimant avoir terminé sa formation et fait le tour de cette micro structure, il décida de voler de
ses propres ailes. Départ qui l’emmena en Égypte (KEMET) où il eût l’occasion de voir de ses propres
yeux ce que les historiens savent être la matrice culturelle du continent africain, et d’étudier la MAAT,
divine loi ancestrale.
De retour en France, Kémi Séba, après avoir observé scientifiquement le microcosme activiste noir (et
avoir été de 2002 à 2004 porte-parole du Parti Kémite) fonda en 2004 le 1er mouvement noir radical de
rue s’imprégnant du kémitisme en France, à savoir la TRIBU KA, organisation qui se fit connaitre
nationalement après être partie défier des milices sionistes qui avaient tabassé des Noirs. Nicolas Sarkozy, à l’époque Ministre de l’intérieur et SIONISTE déclaré, décida d’interdire la Tribu KA tout en laissant les groupuscules racistes juifs prospérer.