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Tatouage du blanc de l’œil : une pratique de plus en plus dangereuse



Depuis plusieurs années, se faire tatouer dans le blanc de l’œil est possible, au grand désarroi des professionnels de santé. Cette pratique, qui ne cesse de se développer, est souvent liée à des complications très sévères.

Se tatouer dans le blanc de l’œil, est une mode dont les professionnels de santé se seraient bien passés. Depuis plusieurs années, les tatouages scléraux sont de plus en plus pratiqués malgré les risques encourus et la désapprobation des autorités sanitaires et de la sphère médicale. Cette tendance consiste à injecter de l’encre dans le « blanc de l’œil » pour les teindre de façon permanente. Le colorant est injecté entre les deux couches de l’œil, une opération irréversible.

Seulement voilà : au-delà de l’effet « spectaculaire », cette pratique est souvent liée à des complications très sévères. Les patients s’exposent à toutes sortes de conséquences, notamment traumatiques, inflammatoires, immunitaires et infectieuses. Le journal Le Monde a relayé certains cas qui devraient, sans aucun doute, faire réfléchir ceux qui souhaiteraient franchir le pas.

Un homme de 30 ans a récemment fait parler de lui après avoir été adressé aux urgences ophtalmologiques du CHU de Clermont-Ferrand. Il se plaignait d’une sensation de pression oculaire et de corps étranger sur les deux yeux. Les ophtalmologiques ont constaté qu’il présentait sous la conjonctive des deux yeux (membrane qui tapisse l’intérieur de la paupière) plusieurs nodules de 5 mm, dont la disposition correspondait aux quatre points d’injection de l’encre. Malgré un traitement anti-inflammatoire local, « aucune évolution favorable ou défavorable en dehors d’une diminution des symptômes » n’a été observée depuis.

Un autre cas, encore plus dramatique, a également été relayé par le quotidien. Il concerne une jeune femme de 24 ans qui a été frappée d’une vive douleur et d’une baisse de l’acuité visuelle après s’être laissée tenter par cette pratique. Face à ces douloureux symptômes, elle a reçu de nombreux traitements, en vain. Deux mois après, la jeune femme a dû subir l’ablation de son œil.

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