Sextape de Kim Kardashian : Son ex, Ray J fait de nouvelles révélations
Dans une interview révélatrice, le chanteur américain Ray J s’est ouvert sur sa fameuse sextape de 2007 avec Kim Kardashian. Il a discuté de son impact sur l’essor des plateformes de contenu pour adultes comme OnlyFans.
S’exprimant sur le podcast Club Shay Shay avec Shannon Sharpe, le chanteur américain a suggéré que leur scandale a joué un rôle important dans la formation du paysage actuel de l’industrie du divertissement pour adultes.
‘Il n’y aurait pas d’OnlyFans’ : Ray J revient sur son scandale avec Kim Kardashian
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Ray J a souligné l’influence profonde de la sextape, non seulement sur sa vie et celle de Kim, mais aussi sur l’ensemble du monde en ligne. « Tout serait différent sans la sex-tape », a-t-il fait remarquer.
« Il y aurait probablement plus de gens qui iraient à l’université… il n’y aurait peut-être pas OnlyFans et d’autres choses de ce genre ». Ses commentaires soulignent l’effet d’entraînement que le scandale a eu sur la création et la consommation de contenus numériques, ouvrant la voie aux plateformes qui monétisent les contenus pour adultes.
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En réfléchissant aux retombées de l’affaire, Ray J a exprimé des regrets, surtout maintenant qu’il est père. Il s’est demandé si leurs actions avaient contribué aux problèmes de la société ou si elles avaient apporté une solution. Cette introspection met en évidence les sentiments complexes qu’il éprouve à l’égard de l’incident, reconnaissant son impact à long terme tout en se débattant avec sa culpabilité et sa responsabilité personnelles.
Le rôle de Kris Jenner
Ray J a fait une révélation surprenante : Kris Jenner, la mère de Kim Kardashian, a joué un rôle essentiel dans le choix de la sextape à diffuser. Selon Ray J, Kris Jenner a examiné trois enregistrements réalisés avec Kim et a décidé lequel serait rendu public.
Ce détail ajoute une nouvelle dimension à l’histoire, suggérant une manœuvre calculée derrière le scandale qui a catapulté la famille Kardashian sous les feux de la rampe.
