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La CEDEAO, l’ONU et les États-Unis condamnent la volonté de la Junte de poursuivre Mohamed BAZOUM en justice !

Niger 5

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La CEDEAO, l’ONU et les États-Unis expriment leur préoccupation face à l’intention de la Junte de traduire Mohamed BAZOUM en justice !

La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’Organisation des Nations Unies (ONU) et les États-Unis ont exprimé leur préoccupation et leur désapprobation à l’égard de la décision de la Junte militaire au Niger de traduire Mohamed BAZOUM, le président élu, en justice.

Le 9 mars 2021, le président élu Mohamed BAZOUM a remporté les élections présidentielles au Niger, marquant ainsi une transition pacifique démocratique. Cependant, la Junte militaire a pris le pouvoir quelques jours avant l’investiture de BAZOUM et a annoncé son intention de le traduire en justice pour des accusations non spécifiées. Cette décision a suscité de vives inquiétudes tant au niveau national qu’international.

La CEDEAO, une organisation régionale qui promeut l’intégration économique et le développement en Afrique de l’Ouest, a condamné fermement cette décision de la Junte. Dans un communiqué, la CEDEAO a affirmé que cette action allait à l’encontre des principes démocratiques et de l’État de droit, et a appelé à un retour à l’ordre constitutionnel et à la libération des personnes détenues illégalement.

L’ONU, quant à elle, a exprimé sa profonde préoccupation concernant la situation au Niger. Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a appelé toutes les parties à faire preuve de retenue et à résoudre leurs différends de manière pacifique et constitutionnelle. Il a également souligné l’importance de respecter les droits de l’homme et les libertés fondamentales.

Les États-Unis, par l’intermédiaire de son Département d’État, ont également exprimé leur désapprobation face à la tentative de la Junte de traduire Mohamed BAZOUM en justice. Ils ont appelé au respect de la volonté du peuple nigérien, tel que manifesté lors des élections présidentielles, et ont souligné l’importance de la démocratie et de la gouvernance.

Les organisations régionales et internationales continuent de suivre de près l’évolution de la situation au Niger et appellent à une résolution pacifique de la crise. Elles insistent sur l’importance de préserver les institutions démocratiques et de promouvoir la stabilité et le respect des droits de l’homme dans le pays.

Il est crucial que tous les acteurs concernés travaillent ensemble pour parvenir à une résolution pacifique de cette crise et permettent ainsi au Niger de poursuivre sur la voie de la démocratie et du développement.

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