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François Hollande pense que l’armée française n’a pas à s’imposer au Burkina



François Hollande, l’ancien président français est formel sur le sujet : La France n’a pas à se maintenir au Burkina. Invité sur France 24 dans l’émission « Mardi politique », il a expliqué qu’il est temps de se faire respecter en tant que Nation.

« Nous n’entendons nullement nous imposer. Lorsque j’ai fait intervenir l’armée française au Mali, je ne cherchais aucunement un gain au sens économique du terme. (…) Si on ne veut pas de nous au Burkina Faso, il n’y aucune raison qu’on s’impose », a estimé François Hollande.

L’auteur du nouveau livre « Bouleversements » précise que « la France a fait son devoir » dans le Sahel en se sacrifiant et en combattant aux côtés des armées républicaines. A aucun moment, l’Hexagone ne s’est invitée dans la crise du terrorisme mais a plutôt été sollicitée au Burkina, au Mali tout comme au Niger.

Après une première intervention, le conflit avec les jihadistes a créé une forme de lassitude. Cette période a été suivie par des coups d’Etat dont se sont servis les Russes pour mettre la France dehors.

« Il y a bien une influence » russe en Afrique de l’ouest insiste M. Hollande. Wagner a d’ailleurs dit être très heureux du nouveau putsch au Burkina Faso. De même, dans les rues, de nombreux drapeaux russes ont été vus un peu partout. Même un militaire putschiste a été vu brandir un drapeau assis sur un blindé. Des bâtiments représentant les intérêts de la France, dont l’ambassade à Ouagadougou, ont été pris pour cible par les manifestants. Ils ont été fermés jusqu’à nouvel ordre.

Le capitaine Ibrahim Traoré, auteur du plus récent putsch au Burkina Faso a officiellement été désigné mercredi président du Burkina Faso dans l’attente de la désignation d’un président de transition par des « Assises nationales ». Il a affirmé être ouvert à d’autres partenaires avec nécessité de revoir les accords de défense signés avec la France.

 

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