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Guinée : la transition secouée par une crise politique



Une année après le coup d’Etat contre Alpha Condé, la situation en Guinée n’est pas toujours stable. Elle est loin de s’être améliorée à s’en fier au continuel bras de fer entre les autorités de transition et les partis politiques.

Trois médiatrices nommées pour conduire le dialogue politique ont commencé leur travail. Seul bémol : elles ne sont pas reconnues par les principaux partis politiques et organisations de la société civile.

Des rencontres ont donc eu lieu sans le parti du président déchu Alpha Condé, celui de l’opposant Cellou Dalein Diallo et du mouvement Front national pour la défense de la Constitution (FNDC). Les plus grands partis politiques du pays et organisation de société civile exigent une médiation de la CEDEAO.

Selon Sekou Koundouno, responsable des stratégies et planification au FNDC, « nous avons une crise de confiance entre la junte militaire et les acteurs socio-politiques. Elle n’a aucune légitimité. L’équipe de la junte est composée d’hommes d’affaires et de narcotrafiquants. Nous exigeons la publication de la liste du Comité national pour le rassemblement et le développement (CNRD) et la déclaration de leurs patrimoines ».

Les autorités de transition sont accusées de ne pas tenir leur promesse, celle de dévoiler la liste des membres du CNRD, l’organe central de la transition. Les membres devant le composer ne sont toujours pas connus jusqu’à ce jour.

Le FNDC n’a pas manqué d’appeler à de grandes manifestations –un mouvement interdit- les 18 et 26 octobre 2022 aussi bien à Conakry que sur toute l’étendue du territoire.

Le mouvement exige la libération sans condition « des otages que sont le coordinateur national du FNDC, le responsable des opérations du FNDC ainsi que tous les leaders politiques, d’opinions et militants pro démocratie injustement arrêtés et incarcérés à la maison centrale de Conakry et à l’intérieur du pays ».

 

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