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Elle perd son travail chez McDo après avoir dénoncé son manager qui la filmait à son insu



ne salariée affirme que son supérieur avait caché un téléphone dans la pièce où elle se changeait. Après avoir déposé plainte, la jeune femme de 20 ans a constaté la rupture de sa période d’essai par McDonald’s. Le manager en question a également été licencié.
Au mois d’octobre, une étudiante à la Sorbonne s’est fait embaucher dans un McDonald’s parisien afin de payer ses frais de scolarité. Seulement quinze jours après son arrivée, son expérience va prendre un tournant traumatisant. Elle découvre qu’elle est filmée à son insu par son employeur, selon Le Parisien. Un smartphone est effectivement tourné vers son casier et l’entrée des toilettes du vestiaire des femmes.
Le téléphone en question n’étant pas verrouillé, la salariée découvre qu’il appartient à son supérieur. Elle contacte immédiatement la police. Le suspect reconnaît les faits lors de son audition. Le manager est mis à pied puis licencié par la direction de McDonald’s. Il devra également répondre devant la justice du chef d’atteinte “à l’intimité de la vie privée par fixation, enregistrement ou transmission de l’image”.
Les deux propositions refusées par l’étudiante
Choquée par cette découverte, la jeune femme est mise en arrêt de travail. La direction décide de mettre fin à sa période d’essai pendant son absence. Selon la salariée, cette rupture est la conséquence de sa plainte et des liens entre le gérant du restaurant et le manager accusé. “C’est son fils, je l’ai appris après les faits”, assure l’employée. Les deux hommes portent effectivement le même nom, mais la direction du fast-food refuse de confirmer le lien de parenté auprès du média Le Parisien.
Selon McDonald’s, les services des ressources humaines ont proposé à la jeune femme d’être mutée dans un autre restaurant. Une offre refusée. “Puis, ils ont proposé une transaction financière pour que je démissionne, mais j’ai aussi refusé. Je n’allais pas quitter mon travail alors que j’ai été agressée”, affirme-t-elle au quotidien. La fin de sa période d’essai a été décidée après ces deux refus.
“À la suite de son refus de reprendre son poste de travail et de sa demande d’un règlement à l’amiable toujours en cours, des échanges entre avocats se sont tenus. La direction attend aujourd’hui un retour de la salariée suite à ces échanges”, ont justifié les responsables du fast-food.
L’étudiante dit ne plus dormir la nuit et prendre des médicaments pour calmer ses angoisses. Elle reste cependant déterminée à faire entendre sa cause. “C’est une grosse enseigne. On peut tout faire avec de l’argent, ils ont des avocats, mais ça ne me fait pas peur, j’irai aux prud’hommes pour contester mon licenciement”, promet-elle.

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