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Une Affaire de vente d’armes illégale secoue le ministère de la défense au Cameroun



 

Un nouveau scandale ébranle le ministère de la Défense au Cameroun, avec l’ouverture d’une enquête par la justice française sur une vente d’armes illicite d’une valeur de 40 milliards de francs CFA (65 539 467 euros). L’enquête, initiée le 24 août 2020, porte sur des chefs d’accusation de « blanchiment aggravé, faux et usage de faux » liés à cette transaction clandestine.

Selon les révélations du journaliste Boris Bertolt, cette opération illégale aurait été orchestrée par les individus IGAL COHEN, DAN COHEN, et MICHAEL SFEDJ. L’affaire a éclaté lorsque la BNP-PARIBAS a signalé une transaction de 30 millions d’euros (environ 20 milliards FCFA) provenant du compte de la société NATERRE DIDEROT, partiellement détenue par Dan et Igal Cohen.

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Au fil des investigations, il a été découvert que cette opération n’était que la partie visible d’un montage financier complexe impliquant des sociétés immobilières et des entités offshore. Les fonds, initialement provenant du Cameroun, ont été dissimulés grâce à des opérations financières frauduleuses.

Le juge d’instruction a révélé qu’Igal Cohen aurait établi un réseau d’opérations financières et d’acquisitions immobilières visant à rapatrier des fonds provenant de contrats illicites au Cameroun, dépassant les 60 millions d’euros (environ 40 milliards FCFA). Une partie significative de ces fonds aurait été blanchie via l’acquisition immobilière par la société NATERRE DIDEROT.

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Dans cette affaire de blanchiment d’argent, deux autres sociétés, EXCELLIM et IMMOBILIERE 3 MARTEL, sont également impliquées. Cependant, le ministère français des Armées affirme n’avoir pas été informé de cette opération, en violation de la loi.

Du côté camerounais, les autorités du ministère de la Défense, y compris le ministre Joseph Beti Assomo, le chef du secrétariat militaire Ngolo Ngomba, le directeur de la réserve militaire Biligua Martial et le directeur du matériel interarmées, prétendent ne pas être au courant de ce marché. Un mystère persiste quant à l’origine des 40 milliards FCFA du trésor public camerounais versés à des sociétés en France, alors que les ministères de la Défense des deux pays prétendent ne pas connaître l’existence de cette vente d’armes. L’enquête se poursuit pour éclaircir ces zones d’ombre.

 

 

 

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