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Sida : où en sommes-nous dans la lutte contre le « Fléau du siècle » ?



Depuis 1988, à l’initiative des Nations Unies, le monde célèbre chaque année la Journée mondiale du sida le 1er décembre. Cette année, le thème choisi pour célébrer cette journée est : « Mettre fin aux inégalités. Mettre fin au SIDA. Mettre fin aux pandémies ».

Avec un tel thème, il est important de se demander où en est la lutte aujourd’hui.

Pendant des décennies, le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) a attiré l’attention des autorités sanitaires et même des politiciens du monde entier. Le mal est si préoccupant que les Nations Unies ont développé un plan spécialement pour lui.

Il s’agit du Programme des Nations Unies sur le SIDA, qui est le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/SIDA. Sa vision est : « Zéro nouvelle infection à VIH. Zéro discrimination. Zéro décès lié au SIDA », et enfin éliminer cette épidémie d’ici 2030. Mais au fait, où en sommes-nous dans la bataille ?

Selon les données de l’ONUSIDA, il y aura 1,5 million de nouvelles infections à VIH en 2020, 37,7 millions de personnes seront infectées par le virus et 680 000 personnes mourront. Les chiffres de 2020 sont choquants en Afrique subsaharienne, en particulier pour les femmes les plus justes.

Rien qu’en 2020, 63 % des nouvelles infections à VIH touchent les femmes. Les jeunes sont l’autre classe la plus vulnérable de la société. Dans la tranche d’âge des 15-24 ans, il y aura 220 000 cas de séropositivité en Afrique subsaharienne en 2020. Chez les jeunes de 15 à 19 ans, six nouvelles infections sur sept sont des filles.

En fait, ces chiffres sont le résultat du coronavirus expulsant le VIH, qui fait l’objet de toutes les attentions depuis fin 2019. Le nombre total de tests de dépistage du VIH/SIDA a chuté de 35 % dans les pays faisant rapport à l’ONUSIDA.

Les mesures de confinement prises dans le cadre de la prévention du Covid-19 ont gravement entravé la lutte contre le VIH/SIDA. Le dernier rapport de l’ONUSIDA se lit comme suit :

« Les dommages plus larges causés par la pandémie -ressentis le plus durement par les populations déjà défavorisées- menacent de saper les efforts mondiaux visant à mettre fin à la pandémie de SIDA d’ici 2030 ».

Dans son discours du même jour, Winnie Byanyima, directrice exécutive de l’ONUSIDA, a également confirmé que

« les avancées de la lutte contre le SIDA, qui accusaient déjà un retard, sont confrontées aujourd’hui à des difficultés encore plus grandes alors que la crise de Covid-19 continue de faire des ravages, perturbant entre autres les services de prévention et de traitement du VIH, la scolarisation et les programmes de prévention de la violence ».

De plus, le pronostic n’est pas bon, car selon l’Organisation mondiale de la santé, si les conditions actuelles restent inchangées, d’ici 2030, environ 7,7 millions de personnes pourraient mourir du sida.

Il n’existe toujours pas de vaccin permettant de s’interroger sur l’efficacité de la lutte contre l’épidémie découverte depuis les années 1980.

A côté, le Covid-19, apparu il y a deux ans, a eu un grand nombre de vaccins en quelques mois. Il y a là un paradoxe : l’OMS, l’ONUSIDA et toutes les agences impliquées dans la lutte contre le SIDA bénéficieront de l’explication.

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