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Khalifa Sall et Karim Wade devraient être autorisés à se présenter à l’élection présidentielle

Sall Wade

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Khalifa Sall et Karim Wade devraient être éligibles à la présidentielle

La question de l’éligibilité de Khalifa Sall et Karim Wade à la présidentielle suscite un débat animé au Sénégal. Alors qu’ils ont tous deux été condamnés dans des affaires de corruption, certains estiment qu’ils devraient néanmoins pouvoir se présenter aux élections présidentielles.

Khalifa Sall, ancien maire de Dakar, a été reconnu coupable en 2018 de détournements de fonds publics et condamné à cinq ans de prison. De son côté, Karim Wade, fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, a été condamné en 2015 pour enrichissement illicite et condamné à six ans de prison.

Cependant, de nombreux partisans des deux hommes politiques estiment que leur éligibilité devrait être maintenue. Ils soulignent que le suffrage universel doit prévaloir et que chaque citoyen devrait avoir le droit de se présenter à une élection, indépendamment de son passé judiciaire.

De plus, certains font valoir que la condamnation de Khalifa Sall était motivée par des considérations politiques et qu’il n’a pas été jugé équitablement. Ils estiment que cela rendrait injuste de lui refuser le droit de se porter candidat à la présidentielle.

Pour ce qui est de Karim Wade, beaucoup considèrent sa condamnation comme un processus politiquement motivé visant à l’empêcher de se présenter aux élections présidentielles. Selon eux, sa disqualification ne repose pas sur des preuves solides et violerait ses droits en tant que citoyen sénégalais.

Enfin, certains soutiennent que les deux hommes ont une influence significative sur la scène politique et représentent une partie importante de l’opposition au Sénégal. Leur capacité à se présenter à la présidentielle pourrait stimuler la compétition démocratique et garantir une représentation politique équitable.

Bien que certains arguments en faveur de l’éligibilité de Khalifa Sall et Karim Wade soient avancés, il convient de reconnaître que leur condamnation dans des affaires de corruption soulève des préoccupations légitimes quant à leur intégrité en tant que candidats potentiels. En fin de compte, la décision de les autoriser à se présenter ou non à la présidentielle devrait être basée sur une évaluation approfondie de leur cas conforme aux lois en vigueur.

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