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Festival de Cannes : un long-métrage africain à la conquête du Palme d’Or



Dans le cadre de la compétition cannoise, Ramata-Toulaye Sy, jeune réalisatrice franco-sénégalaise, nous livre son premier long-métrage intitulé « Banel et Adama ». Ce portrait puissant met en lumière une femme en quête de liberté.

La caméra de la réalisatrice s’est posée dans un village rural du nord du Sénégal pour raconter cette histoire captivante. Le film, présenté samedi sur la Croisette, est entièrement en peul, une langue qui nous plonge au cœur de l’intrigue.

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Banel et Adama : un amour complexe

Festival De Cannes : Un Long-Métrage Africain À La Conquête Du Palme D'Or

Au cœur de cette histoire, nous découvrons Banel et Adama, un couple épris l’un de l’autre, désireux de quitter le village pour échapper aux pressions de leurs familles respectives. Mais cet amour est-il suffisant pour briser les barrières qui se dressent sur leur chemin ?

Banel, fougueuse et rebelle, aspire à vivre sa vie selon ses propres termes. Elle refuse de se plier aux attentes traditionnelles et de devenir mère. Cependant, sa belle-mère, désapprouvant son choix, la confronte à une menace : celle d’une deuxième épouse. Banel, personnage complexe, lutte pour trouver sa place dans ce village qui ne semble pas la comprendre.

Une réalisation aboutie

Festival De Cannes : Un Long-Métrage Africain À La Conquête Du Palme D'Or

Ramata-Toulaye Sy a écrit ce scénario en 2014 alors qu’elle était étudiante à l’école de cinéma la Fémis. Après l’avoir mis de côté pendant plusieurs années, elle a finalement décidé de se lancer dans sa réalisation en 2020. Son œuvre témoigne d’une esthétique soignée, avec une première partie qui nous plonge dans la beauté de l’Afrique, sa nature et sa lumière, tandis que la seconde partie explore des thèmes plus sombres, abordant notamment la sécheresse qui frappe la région et contraint les villageois à abandonner leurs terres.

En tant que représentante du continent africain aux côtés de la réalisatrice tunisienne Kaouther Ben Hania, Ramata-Toulaye Sy confie ressentir une certaine appréhension face à la compétition. Les critiques peuvent être sévères, mais elle se dit fière d’être présente et de partager son travail avec le public.

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