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La Cour suprême sénégalaise confirme la condamnation d’Ousmane Sonko, les détails



La Cour suprême sénégalaise a rendu une décision jeudi, juste avant minuit, confirmant la condamnation de l’opposant emprisonné Ousmane Sonko à six mois de prison avec sursis pour diffamation. Cette peine est perçue comme un obstacle potentiel à sa participation à l’élection présidentielle prévue le 25 février.

L’annonce a été faite par le juge Abdourahmane Diouf et confirmée par les avocats d’Ousmane Sonko, une figure centrale de l’opposition sénégalaise qui est en conflit avec l’État depuis plus de deux ans. La décision inclut également une amende de 200 millions de francs CFA (environ 300 000 euros).

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L’avocat de l’État, El Hadji Diouf, a réagi en affirmant : « On a confirmé la peine et les dommages et intérêts. Sonko a perdu sur toute la ligne. Il est maintenant totalement interdit de participer à une élection. » Les avocats d’Ousmane Sonko n’ont pas commenté immédiatement sur l’éligibilité de leur client, laissant la question entre les mains du Conseil constitutionnel qui devrait se prononcer prochainement.

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Ousmane Sonko, âgé de 49 ans et classé troisième lors de la présidentielle de 2019, est poursuivi pour « diffamation, injures et faux » par le ministre du Tourisme Mame Mbaye Niang. La Cour suprême a confirmé la peine prononcée en appel de six mois de prison avec sursis et une amende conséquente, compromettant sérieusement les chances de l’opposant de participer à l’élection présidentielle.

Cette décision de la Cour suprême met fin à cette affaire, mais le camp de Sonko a maintenu son espoir en sa candidature, notamment après qu’un juge a ordonné en décembre sa réinscription sur les listes électorales. Ousmane Sonko a été investi par sa coalition dimanche, bien que le meeting public ait été interdit par les autorités.

Malgré les obstacles administratifs, l’opposant a déposé son dossier de candidature au Conseil constitutionnel, et son mandataire doit passer devant la commission de contrôle des parrainages. Mercredi, cette commission a validé le dossier d’un autre candidat de l’opposition, Habib Sy, qui a promis de se désister si Ousmane Sonko peut se présenter. Un autre candidat de la même formation, Bassirou Diomaye Faye, doit régulariser sa situation pour participer au scrutin, avec son dossier examiné jeudi.

 

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