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Voici l’effrayante histoire d’amour entre un homme et une revenante



La nature est remplie de mystères. Il existe des phénomènes ou des êtres que le commun des mortels ne peut jamais reconnaître comme étant d’une autre dimension. C’est ainsi que Louis-César Bancé a été victime des sales tours mystérieux de la nature.

Amoureux depuis une belle lurette d’une fille, Louis-César Bancé a fini par l’avoir dans son lit. C’est après satisfaction qu’il a su qu’il s’est accouplé avec une revenante. Lisez plutôt l’anecdote effrayante de la victime.

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« Mon ami Sylvain avait une très belle petite sœur. Au quartier, elle faisait partie des filles les plus gracieuses.

Plusieurs fois, elle remporta des concours miss organisés par la mairie de notre commune. Longtemps, je m’étais montré hésitant à l’aborder de peur de détériorer mes liens d’amitié d’avec Sylvain. Puis un jour, Opera News, la plateforme internationale pour laquelle je travaillais, me fit savoir que je devais me rendre au Bénin, pour une mission. La veille de mon voyage, j’invitai Linda dans un maquis, à l’insu de son frère. Au cours de notre dîner, je lui fis mes aveux :

  • Tu sais, j’ai toujours été amoureux de toi. Je n’ai pas osé te le dire parce que Sylvain, ton frère, est mon ami. Je craignais qu’il ne le prenne mal. Mais ce soir, si je m’ouvre à toi, c’est parce que je quitte le pays pour quelques temps. C’est un aveu d’un genre échappatoire de mes sentiments pour toi…

Ce soir-là, Linda m’avait souri, et dans son regard plein de tendresse, j’avais l’impression de lire ceci : « Tu m’aurais vite approchée que je t’aurais accepté. Sylvain est ton ami, et qu’est-ce qu’il y a de mal à ça ? Lui-même ne cherche-t-il pas les sœurs des autres ? Dommage que tu voyages, Louis, tu me plaisais autant. »


Quatre mois que je m’étais accoutumé à la vie béninoise, au cœur de Cotonou. L’ image de Linda venait de temps en temps se balader dans mon esprit. Cependant, j’étais conscient que c’était un amour impossible. Car non seulement elle était la sœur à Sylvain, mais aussi, la distance venait de nous séparer pour un long moment.

La vie réserve tant de surprises, pourtant ! Un matin, alors que j’étais en prospection au marché de Dantokpa, le plus grand d’Afrique de l’ouest avec ses 20 hectares, je vis une jeune fille passer tout près de moi. Ce n’était pas croyable que ce fût Linda ? Les yeux hagards, je l’interpellai avec beaucoup de doutes :

  • Linda ? Linda ?

La jeune fille se retourna, et en me fixant, courut pour se jeter dans mes bras :

  • Louis ! Que le monde est petit !

Ce jour-là, obnubilé, j’arrêtai complètement le travail pour recevoir Linda. Elle venait d’arriver dans la ville et cherchait un hôtel. Sa mère l’avait envoyé acheter des pagnes dahoméens pour le commerce. Pour son séjour, je ne pouvais pas être présent et accepter que la petite sœur de mon ami dormît dans un endroit autre que le mien. Je dus insister avant qu’elle ne daignât poser ses valises dans mon studio américain situé dans les encablures de Gbegamey, près du centre artisanal. La même nuit, sans que je fîsse d’éffort pour l’attirer à moi, Linda et moi fîmes l’amour. C’était doux. C’était bon. Souffrez que je vous prive des descriptions. Retenez seulement que le désir était proportionnel.

Ma nouvelle petite amie resta chez moi pendant trois jours. Pas une nuit ne passa sans que nous ne nous touchassions. Trois nuits d’amour torride ! Elle repartit à Abidjan, laissant dans mon esprit, un souvenir indélébile.

Une semaine après le départ de Linda, mon employeur me donna quelques jours de congés. Je me rendis à Abidjan dans l’intention de revoir la petite sœur de Sylvain qui me manquait tant. À peine je déposai ma valise au domicile familial que je filai chez les Linda. Ses parents ainsi que mon ami Sylvain me reçurent au salon :

  • Akwaba, Louis. Comment s’est passé ta mission au Bénin ?

  • Super bien chers parents. Vous m’avez manqué. Linda était en séjour à Cotonou, il y a une dizaine de jours de cela. Je l’ai aidée à faire ses achats de pagnes. Elle est bien rentrée ?

Les parents de Linda me regardèrent, complètement incrédules, ahuris…

  • Tu parles de quelle Linda ? questionnèrent-ils en chœur, les yeux figés.

  • Votre fille Linda, venue au Bénin pour acheter des pagnes. Combien de Linda y a-t-il ?

La mère prit un mouchoir en s’essuyant les yeux embués de larmes :

  • Ce ne peut pas être Linda. Environ un mois après ton départ à Cotonou, Linda est morte, à la suite d’une courte maladie.

Ça fait plus de trois mois qu’elle repose au cimetière de williamsville…»

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